🕹️ Call of Duty : Axis of Respawn – Quand Poutine, Xi et Kim dominent le champ de bataille… virtuel
💣 Une alliance stratégique entre headshots et popcorn
Pékin, salle de guerre tactique NVIDIA 3080 – Mercredi 3 septembre 2025, un événement géopolitique d’un nouveau genre s’est déroulé en Chine. Oubliés les tanks, les missiles hypersoniques ou les discours devant 200 000 soldats bien rangés. Place au lobby privé sur Call of Duty : Warlords Edition, où Xi Jinping, Vladimir Poutine et Kim Jong-un ont enchaîné les kills à coups de M4 custom et de répliques dignes de Kaamelott :
« Kim, arrête de camper dans le clocher, c’est pas du fair-play ! » – Vladimir Poutine (micro activé)
Installés dans des fauteuils gaming siglés “Guerre Froide Pro Max™”, les trois leaders ont enchaîné les frags sur un décor de village syrien semi-réaliste. Selon nos sources, la partie s’est terminée sur un “Victory Royale” symbolique de 56-0 face à une équipe occidentale composée de Joe Biden (AFK dès la 3e minute), Emmanuel Macron (dans le menu des options tout du long) et Rishi Sunak (occupé à looter un coffre invisible).
🎮 La diplomatie par le joystick
“L’humanité fait de nouveau face à un choix : la paix ou le respawn illimité.” – Xi Jinping, pseudo : RedDragon_88
Dans ce qui restera sans doute comme le premier sommet diplomatique eSport de l’histoire moderne, les chefs d’État ont opté pour une démonstration de force pixelisée. Oubliés les défilés de tanks ; maintenant, les leaders montrent leur puissance en 120 FPS avec headsets surround.
Le serveur était protégé par le pare-feu nord-coréen, assurant une latence stable mais interdisant l’accès à tout contenu non validé par Pyongyang. Kim Jong-un, joueur reconnu dans le circuit underground des LAN parties de Pyongyang, jouait avec son légendaire skin “Dictateur Suprême+” débloqué après avoir terminé toutes les campagnes solo… sans cligner des yeux.
🧀 Snack, stratégie et suprématie
La table basse, quant à elle, est rapidement devenue théâtre d’une guerre parallèle :
Produit | Consommateur principal | Statut |
---|---|---|
Chips au wasabi | Xi Jinping | Fini au 2e round |
Red Bull édition “Vodka Kremlin” | Poutine | Rechargé deux fois |
Barres chocolatées made in Pyongyang | Kim | Toujours scellées (emballage sacré) |
À noter que le seul moment de tension diplomatique est survenu lorsque Poutine a tenté de changer de map pour “Ukraine 2022”. Le jeu a crashé. Coïncidence ?
🏆 Une victoire symbolique… et programmée
Les médias chinois parlent déjà de cette rencontre comme du “Shanghai Split-Screen Summit”. Un exploit technologique, diplomatique et parodique de la virilité géopolitique.
“C’était pas une manette… c’était une extension de notre soft power.” – Kim Jong-un, entre deux hot-dogs nucléaires
Le message est clair : l’Orient n’a plus besoin de missiles, il suffit de laguer l’Occident avec un bon vieux glitch de serveur. Et quand les parties deviennent trop sérieuses ? On reboot la map.
🅑 PARTIE B – Traitement réaliste
Une démonstration de force politique et militaire
Le 3 septembre 2025 à Pékin, la Chine a organisé un défilé militaire de grande ampleur, en présence de Xi Jinping, Vladimir Poutine et pour la première fois, Kim Jong-un, marquant un tournant stratégique majeur dans les relations trilatérales. La date coïncidait avec les commémorations des 80 ans de la fin de la Seconde Guerre mondiale.
Ce défilé, symbole de puissance et de mémoire, s’inscrit dans une séquence diplomatique intense pour la Chine, qui a également accueilli dans la même semaine le sommet de l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), réunissant une vingtaine de pays eurasiatiques.
Un message clair à l’Occident
L’absence de dirigeants occidentaux majeurs (à l’exception du Premier ministre slovaque, Robert Fico) témoigne d’une fracture géopolitique croissante. Xi Jinping a profité de son discours pour appeler à un choix civilisationnel entre “paix ou guerre”, faisant référence aux tensions actuelles (Ukraine, Taiwan, sanctions, cybersécurité…).
La présence conjointe de Kim Jong-un avec Xi et Poutine renforce la posture d’un bloc Est en recomposition. Le dirigeant nord-coréen, habituellement isolé, marque ici une volonté d’intégration régionale plus assumée face à une communauté internationale encore largement critique de son régime.