L’INFOX :🥊 Collège Jean Rostand : La prof s’excuse et reconnait avoir mérité cette gifle pour contenu ennuyeux.

🧼 Un remake de “L’Instit”… version UFC

Dans cette nouvelle ère éducative, le feuilleton culte des années 90 “L’Instit” renaît de ses cendres. Sauf que Victor Novak a troqué son cartable contre des mitaines de boxe. Le nouveau titre ? “L’Instruit : Chapitre 1 – Le Choc des Classes.”

🎬 Synopsis de l’épisode pilote :

Une collégienne montée sur ressort interrompt le cours de français. Face à elle, une professeure armée d’un Bescherelle et de 3 années de karaté-do en ligne sur YouTube. La tension monte, le tableau tremble. Au troisième avertissement, le premier round commence.

🔔 Les règles du duel :

• 1er avertissement : regard noir.
• 2e avertissement : menace passive-agressive.
• 3e avertissement : appel au principal ou prise d’étranglement pédagogique.

Le ministère songe même à inscrire cette version dans le programme EPS :

« Si courir 3 kilomètres ne calme pas les élèves, un bon sparring oral le fera peut-être. »

🎭 Un cours de français transformé en slapstick burlesque

Qui aurait cru que le collège Jean Rostand deviendrait un décor de Charlie Chaplin en zone ZEP ? Le cours de français vire à la farce burlesque. Entre chute de cahiers, jets de trousse, dérapages de chaise et professeure en moonwalk de panique, on frôle la performance de mime avec insultes intégrées.

🖍️ Scène type :

• La prof lève la main pour faire taire la classe.
• L’élève comprend « attaque imminente ».
• Réflexe pavlovien : claque sèche.
• L’enseignante chute et renverse une plante verte.
• Rideau.

Le ministre de la Culture envisagerait une inscription de ces séquences au patrimoine vivant de l’absurde, entre le théâtre de l’absurde et un épisode perdu de Caméra Café en temps de guerre civile scolaire.

Une innovation bientôt exportée à l’étranger, selon une brochure de la Mission de la Francophonie éducative :

🗣️ “Grâce au slapstick pédagogique, l’élève apprend à conjuguer ‘être’ à l’imparfait en tombant sur la conjugaison.”

🦺 Profs bientôt équipés de gilets pare-gifle et casques en Kevlar

Face à la montée en puissance des coups surprises, l’Éducation nationale annonce un plan de modernisation de l’équipement du personnel. Exit les trousses en cuir et les tableaux Véléda. Place aux équipements tactiques :

🔧 Ces équipements seraient testés dans des “zones sensibles à forte densité d’impertinence”. Le rectorat de Lille a commandé plus de 800 kits de survie pédagogique avec talkie-walkie intégré pour alerter les collègues en cas de “gifle pédagogique niveau 3”.

🧪 La réforme Blanquer prévoyait bien une “interaction vivante”… mais pas comme ça

Lors d’un colloque resté secret parce que personne n’y était, un ancien conseiller de Jean-Michel Blanquer a admis que le ministère visait une “réactivation de l’engagement corporel en classe”.

👉 Traduction : des cours vivants, où l’élève ressent la leçon. Très physiquement, parfois.

🗣️ “On voulait de l’interaction. On a eu de l’interception. C’est un malentendu sémantique” aurait avoué un chargé de mission pédagogie expérimentale, juste avant de se prendre une gomme entre les yeux en plein conseil de classe.

Des rumeurs indiquent que des enseignants envisagent désormais :

• Des cours de maths avec balles molles (c’est + ludiquement douloureux),
• Des dictées où chaque faute grammaticale déclenche une alarme sonore,
• Un jeu de l’oie disciplinaire avec cases “observation” et “exclusion”.

🧠 Selon une étude de l’INSECTE (Institut National de la Satire et de l’Éducation Concrète Tactile Évolutive), l’interaction vivante serait une “clé pédagogique pour une pédagogie du ressenti profond… au niveau du coccyx.”

📺 Le Conseil de discipline bientôt diffusé sur Netflix

Dans une volonté de transparence totale (et de gains financiers inespérés), l’Éducation nationale a signé un accord avec Netflix France pour produire une nouvelle série docu-réalité :
🎬 “Conseil Classé” – 8 épisodes par trimestre.

🎭 Pitch :

Entre accusations, aveux d’élèves sarcastiques, confrontations de surveillants et témoins à lunettes floues, suivez en temps réel les conseils de discipline les plus épiques de l’académie.

🎞️ Bonus :

• Épisode spécial “Élève VS Prof : Gifle en slow-motion commentée par Samuel Étienne”
• Interview exclusive de la prof de français : “Ce jour-là, j’ai vu une main arriver. J’ai cru que c’était un bonjour.”
• Fiches personnages : le délégué qui ne prend jamais position, la CPE blasée, le principal qui cite Sun Tzu.

La bande-annonce annonce déjà une tension insoutenable :

🎙️ “Ils ont défié l’autorité. Ils vont goûter à la bureaucratie. L’Éducation nationale… n’a pas dit son dernier mot.”

L’INFO : 📚 Les faits réels et les implications

Ce qu’il s’est passé 🎯

Le lundi 20 mai 2025, vers 11h30, au collège Jean Rostand (Cateau-Cambrésis, Nord), une élève de troisième âgée de 15 ans a giflé sa professeure de français après une altercation survenue pendant le cours. Arrivée en retard, l’élève a eu un comportement perturbateur. L’enseignante a alors tenté de l’exclure du cours, mais a reçu une gifle accompagnée d’insultes lorsque l’élève a été accompagnée vers la sortie.

🛡️ Réaction immédiate :

• L’élève a été placée en garde à vue.
• Une enquête a été ouverte par le parquet de Cambrai.
• La rectrice de l’académie de Lille a confirmé une “mesure conservatoire” et une “procédure disciplinaire”.

Les déclarations officielles 📢

Jean-François Caremel (SNES-FSU) a déclaré :

🗣️ “L’élève était déjà connue pour des problèmes similaires dans d’autres établissements. Nous devons garantir une protection réelle aux enseignants.”

👮‍♀️ La procureure de la République, Ingrid Görgen, a confirmé que la garde à vue n’a duré que quelques heures, et que l’enquête suit son cours.

🔪 Autre fait préoccupant : la gendarmerie est également intervenue pour fouiller le sac d’une autre élève déclarant posséder un couteau. Un “objet s’apparentant à un couteau” a effectivement été retrouvé. Deux enquêtes distinctes sont en cours.

Contexte de la violence scolaire en France 🔎

Les violences en milieu scolaire, en hausse depuis plusieurs années, touchent de plus en plus les collèges. Le ministère de l’Éducation nationale déploie des mesures (personnels supplémentaires, équipes mobiles de sécurité, cellules psychologiques) mais les syndicats dénoncent une “défaillance structurelle”.