L’Infox :⚰️ Henry Ford : l’homme qui a monté l’Amérique… démonté en moins de 13 minutes

7 avril 1947 – Le Michigan dans la boîte à gants de la mort

🏭 Un enterrement monté en série… littéralement

C’est officiel : Henry Ford est passé de la vie à la casse. L’inventeur de la production en chaîne s’est vu appliquer ses propres principes jusqu’à sa dernière vis. Et pour une fois, la main-d’œuvre n’était pas sous-payée : elle était déjà en deuil, ce qui réduit naturellement les revendications syndicales.

« Monsieur Ford n’aurait pas voulu d’un enterrement lent. Il préférait la performance. Surtout post-mortem », explique un contremaître des pompes funèbres, cigare à la bouche et minuteur à la main.

Le concept ? Une ligne de production du trépas. Chaque ouvrier, équipé d’un badge RFID, avait une tâche précise :

• Étape 1 : désinfection émotionnelle
• Étape 2 : pose du dernier costume (taille M, car il a perdu du volume)
• Étape 3 : insertion du cercueil dans la tranchée logistique
• Étape 4 : recouvrement au pelleteur automatique
• Étape 5 : « Merci de votre visite, vous pouvez mourir vous aussi »

😐 Un dernier adieu optimisé… au silence des amortisseurs

Le cercueil, un modèle bois-médium « série limitée CEO Final Cut », est arrivé sur un tapis roulant avec les restes encore tièdes du patron. Le tout emballé façon colis Amazon Prime, étiquette « fragile – cerveau encore réutilisable ».

À l’entrée, les invités ont reçu un flyer :
« Vous assistez à l’Enterrement Express™ de Henry Ford – Garantie 100% sans pathos »

Une voix synthétique répétait en boucle :

« Nous vous rappelons qu’aucun cri de douleur ne sera toléré au-delà de 60 décibels. Merci de respecter le deuil en mono-expression. »

🛠️ Quand le cercueil devient un poste de travail

Le clou du spectacle (sans jeu de mots sauf celui-ci) fut la mise en terre par piston hydraulique. Le corps a disparu dans le sol avec la discrétion d’un capot de Mustang. Une fois le cercueil fermé, les ouvriers ont spontanément entonné un chant d’usine funèbre :

🎶 Il est mort, il est parti / Sans bonus ni préavis / Merci patron, on t’a fondu / En moule de boîte à outils… 🎶

Dans le registre, l’acte de décès est tamponné « Production terminée ». À la question « Y a-t-il un testament ? », l’avocat a répondu :

« Oui, mais il est sous embargo jusqu’à la prochaine levée de fonds. »

🧾 Tableaux de bord du trépas Fordien

L’Info

Le 7 avril 1947 : mort d’un titan de l’industrie

Henry Ford meurt à l’âge de 83 ans dans sa ville natale de Dearborn, Michigan. Ingénieur visionnaire et fondateur de la Ford Motor Company, il a révolutionné l’industrie automobile, et plus largement, la société de consommation occidentale.

La chaîne de montage : une idée qui a changé le monde

En 1913, Ford introduit la chaîne de montage dans ses usines, ce qui permet une baisse significative du coût de production. Ainsi naît la Ford T, vendue à plus de 15 millions d’exemplaires, une voiture abordable pour les classes moyennes. Cette méthode, baptisée fordisme, repose aussi sur l’idée d’un salaire élevé (5 $/jour) afin que les ouvriers puissent eux-mêmes acheter ce qu’ils produisent.

Un personnage controversé

Henry Ford, bien que brillant industriellement, a été critiqué pour ses positions antisémites et son admiration ambiguë envers certains régimes autoritaires. Son journal, The Dearborn Independent, a diffusé des propos antisémites jusque dans les années 1920, laissant une tâche sur son héritage.

Une influence durable

Le modèle économique et organisationnel de Ford a profondément transformé la production mondiale, inspirant d’autres industries (agroalimentaire, électroménager, etc.) et créant les bases de l’ère moderne du travail à la chaîne.

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