L’INFOX : 🎆 Lycée Jean-Monnet : Quand les cours explosent (littéralement)
Un cours de français transformé en feu d’artifice indoor : l’Éducation nationale applaudit à tout rompre (des tympans)
ANNEMASSE (74) – Ce vendredi 9 mai, le lycée Jean-Monnet a franchi un cap dans la pédagogie active. Exit les PowerPoints soporifiques et les lectures linéaires de Germinal : désormais, les cours s’accompagnent d’effets pyrotechniques façon Jean-Michel Jarre sous anxiolytiques. Une professeure de français a en effet été visée par des tirs de mortier pendant qu’elle enseignait le subjonctif imparfait — un temps grammatical désormais reconnu par l’ONU comme « arme de confusion massive ».
« Je voulais captiver l’attention des élèves, mais j’avais pas prévu qu’ils me répondraient avec des feux d’artifice. » — l’enseignante, encore fumante
🎓 Le lycée Jean-Monnet devient officiellement un parc d’attraction
L’Éducation nationale réfléchit à requalifier le bâtiment en “Escape Game géant” où le but serait de ressortir vivant du cours de maths spécial statistiques binomiales. Un projet est à l’étude avec le Parc Astérix pour sponsoriser les heures de colle : “Ton comportement dérape ? Hop, un petit tour de Tonnerre de Zeus éducatif dans la cour du bahut.”
Les élèves, eux, hésitent entre la peur et l’enthousiasme : “C’est grave flippant, mais franchement mieux que le dernier TP sur les dérivées”, confie Dylan, influenceur cartable à 230 abonnés sur TikTok.
📽️ Une vidéo virale : “La prof, le mortier et le tableau blanc”
La scène captée par un élève sur Snap est déjà remixée sur TikTok avec la chanson de Shakira en fond, des filtres feu, et un hashtag #PyroPédagogie. Sur Reddit, des internautes ont déjà théorisé un lien avec une secte secrète de profs de techno frustrés.
“On pensait que c’était une reconstitution du 14 Juillet. Mais sans baguette ni Marseillaise, c’était juste flippant.” – Kevin, élève en Terminale G3, traumatisé mais lucide
🧨 Déclaration du proviseur : “On n’est pas au Cirque Bouglione”
Christophe Vigneau, proviseur stoïque mais perplexe, a dénoncé « une situation inédite ». Il envisage de déposer plainte, mais aussi d’embaucher un artificier scolaire à mi-temps. Un appel à candidatures est lancé sur LinkedIn, profil recherché : « BAC +3, expérience en désamorçage de tensions adolescentes et de munitions de type Kermesse ».
👮 Enquête en cours : “C’était une métaphore explosive du mal-être scolaire ?”
Les experts hésitent. Et si ces tirs étaient une forme d’art engagé ? Une métaphore du système éducatif sous pression ? Un happening post-moderne financé par une galerie de Berlin ? Ou juste Kevin qui a trop regardé Fast & Furious : Bac Blanc Drift ? L’enquête continue.
Spoiler : les élèves n’auront pas sport cette semaine. Trop dangereux.
L’INFO :
Le 9 mai 2025, au lycée Jean-Monnet d’Annemasse (Haute-Savoie), une enseignante a été visée par des tirs de feux d’artifice en plein cours. Aucun blessé n’est à déplorer, mais son ordinateur a été endommagé. Les images relayées par BFM TV montrent une scène de panique dans la classe, où plusieurs élèves prennent la fuite après les tirs.
Le proviseur Christophe Vigneau a dénoncé une situation « inédite », précisant qu’il allait porter plainte et que des mesures de sécurité renforcées seraient mises en place dès la semaine suivante. Plusieurs élèves impliqués auraient été suspendus en attente d’un conseil de discipline.
Cet incident pose la question croissante de la sécurité dans les établissements scolaires, où les actes de violence — qu’ils soient physiques ou symboliques — deviennent une préoccupation nationale. Le ministère de l’Éducation nationale a promis d’appuyer les établissements dans leur sécurisation.
Les équipes pédagogiques ont également été prises en charge pour évaluer les impacts psychologiques et garantir la tenue sereine des prochaines épreuves du baccalauréat.