L’infox : 📉 Été 2025 : la France fait naufrage… sur la plage !
Quand les sauveteurs ne courent plus, ils roulent
« J’ai bien tenté un sprint, mais mon short de bain a déclaré forfait avant moi. »
— Norbert, 42 ans, maître-nageur à Lacanau, classé obèse morbide niveau 2
L’été 2025 a été tragique pour les vacanciers français : un record historique de noyades, avec plus de 7 000 cas recensés entre juillet et août. Mais au-delà de la canicule, de la négligence ou des flotteurs licorne mal gonflés, un coupable inattendu a été désigné : la surcharge pondérale des sauveteurs.
🏖️ Alerte à Malibu… mais en version tartiflette
Fini les silhouettes sculptées courant au ralenti sur la plage comme dans « Alerte à Malibu ». Aujourd’hui, les seuls ralentis sont naturels. Dans certains cas, les interventions prennent plus de temps qu’une raclette à cuire :
« Quand j’ai vu le gamin couler, j’ai commencé à courir. J’étais à 17 mètres, j’ai tenu 4… puis j’ai vomi mon kebab d’hier », confie Sandrine, 34 ans, sauveteuse au Grau-du-Roi.
Les postes de secours sont désormais équipés de friteuses à air chaud, brumisateurs à mayo et défibrillateurs à double batterie. Des paddles XXL ont même été commandés pour répondre à la « nouvelle morphologie opérationnelle » des sauveteurs.
🏃 Les formations remplacées par des buffets à volonté
D’après un rapport accablant de la Fédération des Activités Nautiques de France (la bien nommée FANF), 68% des maîtres-nageurs titulaires n’ont pas validé leur test de nage depuis 2023.
En cause ? Une réforme de la formation qui propose désormais un module optionnel « nutrition et barbecue ». Résultat :
- 1/3 des interventions se font en quad de plage,
- 1/4 des bouées sont utilisées comme sièges d’appoint,
- Et 100% des caméras de surveillance sont braquées sur les distributeurs de glaces.
« Je suis pas obèse, je suis juste en pré-flottaison naturelle. »
— Gérard, 51 ans, sauveteur intermittent, 144 kg à jeun.
📊 Tableau comparatif – Évolution du sauvetage côtier
| Année | Temps moyen d’intervention | % de sauveteurs avec IMC > 30 | Nombre de glaces consommées par poste/jour |
|---|---|---|---|
| 2010 | 2 min 40 | 12 % | 3 |
| 2020 | 4 min 12 | 34 % | 7 |
| 2025 | 7 min 38 | 78 % | 19 (avec supplément chantilly) |
🚨 Témoignages qui glissent
- « Je me suis noyé trois fois, mais ils m’ont repêché qu’à la quatrième… parce qu’ils terminaient un tournoi de baby-foot. »
— Damien, 9 ans, survivant en tuba - « Mon sauveteur a demandé une trottinette électrique pour me rejoindre. Le temps qu’il l’active, je m’étais auto-sauvé. »
— Brigitte, 67 ans, habituée de Saint-Jean-de-Luz - « Le seul moment où je l’ai vu courir, c’était pour attraper la dernière part de flan au snack. »
— Vanessa, plagiste témoin d’un sauvetage échoué à Hossegor
📌 L’Info : – Traitement réaliste et informatif
📌 Pourquoi les noyades ont explosé en France durant l’été 2025 ?
L’été 2025 a été particulièrement meurtrier sur les côtes françaises. Plusieurs facteurs ont contribué à cette situation :
🌡️ Chaleur exceptionnelle et afflux massif
- Des températures records (jusqu’à 43°C sur certaines plages) ont provoqué un afflux massif de touristes vers les zones côtières.
- La fréquentation des plages a augmenté de 35 % par rapport à 2024, avec des baigneurs souvent peu vigilants.
🏊 Baisse du niveau de sécurité aquatique
- La pénurie de maîtres-nageurs sauveteurs qualifiés est un phénomène bien documenté. En 2025, près de 25 % des postes de secours étaient partiellement ou totalement vacants.
- Beaucoup de sauveteurs recrutés à la hâte n’avaient pas les qualifications ou la condition physique nécessaires.
🚸 Manque de prévention
- Peu de campagnes de sensibilisation ont été menées au printemps 2025.
- Beaucoup de noyades concernent les enfants de moins de 12 ans, souvent sans surveillance parentale adéquate.
🚩 Infrastructures insuffisantes
- Certaines plages très fréquentées manquaient de matériel adapté (jumelles, planches de sauvetage, bateaux motorisés).
- L’état de fatigue des sauveteurs, parfois contraints de faire des journées de 12 heures, a également été pointé du doigt.
Conclusion
La recrudescence des noyades en 2025 souligne un enjeu de santé publique et de formation, bien au-delà de la caricature. Les autorités ont annoncé des mesures de renforcement de la formation des secouristes et de contrôle de leur aptitude physique dès 2026.
