L’INFOX : 🏴‍☠️ La Mutinerie du Bounty : quand les pirates fondent pour le chocolat 🌽

Une mutinerie sucrée : le Bounty pris d’assaut pour sa cargaison… de Bounty

28 avril 1789. Tandis que le capitaine William Bligh pensait naviguer paisiblement vers les îles tropicales, ses matelots, eux, avaient un tout autre plan : prendre le contrôle du navire pour s’approprier une cargaison précieuse, exotique, et hautement convoitée… des barres chocolatées Bounty. 🍫

“On en avait marre de la morue séchée. Et puis entre une noix de coco et une barre fourrée à la noix de coco, le choix est vite fait,” aurait déclaré le second Fletcher Christian, la bouche pleine et les doigts tout collants.

Chasse au trésor : ils pensaient trouver des épices, ils ont trouvé du plaisir lacté

La confusion est née très tôt : des caisses marquées “Bounty” ont été embarquées à bord. Les marins, d’abord perplexes, les ont ouvertes et ont découvert le Graal sucré : des dizaines de paquets bleus, roses et blancs aux reflets argentés.

“On croyait que c’était un nom de code pour un trésor. En vrai, c’était mieux qu’un trésor. C’était… le dessert,” aurait confié un marin resté anonyme (mais diabétique).

Une mutinerie éclate. Les hommes se partagent les barres, fondent sur le pont comme du chocolat au soleil et prennent la mer direction l’île de Pâques, pensant qu’il s’agit d’un spot spécial pour planquer du chocolat.

🐣 Fun fact : ils ont même peint des œufs en chocolat pour tenter de négocier avec les habitants. Spoiler : ça a fondu, comme leur plan.

Pâques avant l’heure et Noël au mois d’août : la folie sucrée gagne tout l’équipage

Les témoignages parlent d’une ambiance “genre garden party Kinder mais avec des sabres”. L’un d’eux aurait même crié :

“On veut du cacao, pas des ordres !”

Le Capitaine Bligh, désarmé, aurait tenté de calmer les esprits avec un speech sur l’importance de la discipline navale. Il s’est vu répondre :

“Pas de bras, pas de chocolat.”

Bligh est donc abandonné en pleine mer avec pour seule ration une boîte de Quality Street, considérée comme “trop multicolore pour être digne d’un vrai pirate”.

Le Bounty devient le Kinder Surprise de l’histoire maritime

Rebaptisé “Le Kinder Surprise des Mers du Sud” par les réseaux sociaux de l’époque (ok, des parchemins viraux), le navire est devenu une légende. À tel point que les chasseurs de trésors contemporains cherchent toujours sa fameuse cargaison.

⚠️ Attention, plusieurs arnaques circulent sur le web, promettant de retrouver une “barre Bounty historique” à l’intérieur d’un œuf géant. Ne cliquez pas, c’est sûrement un phishing par un hacker déguisé en lapin de Pâques.

Epilogue sucré-amer : arrêtés et… chocolat

En 1791, les mutins encore en cavale sont retrouvés sur l’île Pitcairn. Ils sont arrêtés et ramenés en Angleterre.

“Ils ont été chocolat,” commente un historien hilare, spécialiste des faits divers sucrés. “Et pourtant, ils n’étaient pas à croquer quand on les a retrouvés : obèses, pantelants, certains même en hyperglycémie chronique.”

La justice britannique les condamne à une peine exemplaire : suivre un régime sec à base de navets bouillis, tout en marchant 10 000 pas par jour dans des sabots orthopédiques. Une peine jugée « cruellement allégée » par les nutritionnistes de lépoque.

L’INFO : La véritable mutinerie du HMS Bounty (1789)

Le 28 avril 1789, le HMS Bounty, navire britannique commandé par le capitaine William Bligh, est le théâtre d’une mutinerie historique. Le second, Fletcher Christian, prend le contrôle du navire avec une partie de l’équipage. Bligh et les membres restés fidèles sont abandonnés à la dérive dans une chaloupe.

L’origine de la mutinerie semble liée à plusieurs facteurs : les conditions de vie très dures à bord, la rigueur extrême du capitaine Bligh, et le séjour prolongé à Tahiti où les marins ont goûteé à une vie beaucoup plus agréable.

Après la mutinerie, les insurgés tentent de fuir la Royal Navy. Certains retournent à Tahiti, où ils seront arrêtés en 1791. D’autres, menés par Christian, s’exilent sur l’île de Pitcairn, où ils s’installent définitivement, brûlant le Bounty pour éviter toute poursuite. Leurs descendants vivent encore sur l’île aujourd’hui.