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Sortie en salle de la « Méthode Williams », le travail porte ses fruits

L’infox : La Méthode Williams : Quand le coaching parental se transforme en compote de succès

« Le travail porte ses fruits » : critique juteuse du biopic La Méthode Williams

Dès les premières minutes de La Méthode Williams, on comprend que ce film n’a rien d’une poire pour la soif. Réalisé par W. Granny Smith – un nom à croquer –, ce long-métrage parodique revisite la success story de Richard Williams, père des célèbres tenniswomen Venus et Serena, en la mélangeant allègrement avec une passion fruitée pour… la poire.

« J’ai élevé mes filles comme on cultive un bon verger : avec rigueur, amour… et beaucoup d’engrais médiatique. » — Richard Poire-Williams

Dans un monde où la sueur se mesure en nectar et où le succès se pèse en kilos de poires juteuses, La Méthode Williams livre une vision alternative du coaching familial : fruitée, vitaminée et légèrement fermentée.


Un film mûr, mais jamais blet

Si vous pensiez assister à un biopic sportif traditionnel, détrompez-vous : ici, les courts de tennis sont remplacés par des vergers californiens et les balles jaunes par des williams bien charnues. Will Smith, poire en main et sourire en pulpe, incarne un Richard Williams version arboriculteur maniaque, qui fait réciter l’alphabet fruitier à ses enfants dès 5h du matin :

“A comme Abricot, B comme Banane, C comme Courte croûte de tarte à la poire.”

La réalisation joue sur la métaphore filée, à la limite de la tarte Tatin visuelle : travelling sur des poiriers en fleurs, ralentis sur des compotes versées avec intensité, et un entraînement quotidien sur un terrain recouvert de confiture maison.


Une interprétation à faire frémir Jean-Pierre Coffe

Là où Rocky voyait des œufs crus et des côtes de bœuf, La Méthode Williams nous offre des smoothies vitaminés et des sparrings de jus centrifugés. Les dialogues sont tranchants comme un couteau à éplucher :

“Tu ne deviendras pas la meilleure parce que t’as du talent, Serena… Tu le deviendras parce que t’es BIO.”

À noter un caméo hilarant de Novak Poireskovic, visiblement pressé de cueillir un rôle secondaire, et une bande-son composée exclusivement de sons de mastication, jus qui dégouline et chutes de fruits au ralenti.


Un casting aux petits pépins

Venus et Serena, ici renommées « Reinette » et « Comice », sont incarnées par deux actrices en jus : elles jouent avec une fraîcheur désarmante, oscillant entre détermination fruitière et tendresse confiturée. Mention spéciale à la scène où elles disputent leur premier tournoi sous serre, face à une équipe d’enfants OGM venus de Floride.

Un moment d’anthologie : la discussion père-filles sur l’importance de « garder la peau, c’est là que sont les vitamines ». Séquence nutrition émotionnelle garantie.


L’avis du public : “ça donne la pêche (mais c’est chelou)”

Spectateur anonymeAvis
@MelonMasqué75« C’est très conceptuel, j’ai pas tout compris, mais j’ai acheté une yaourtière en sortant. »
@LaPoireEstLà« Un film touchant. J’ai appelé mon père après. Puis mon primeur. »
@CompoteFéroce« Une masterclass. Un père, des fruits, un destin. Je veux la suite : La Méthode Granny Smith. »

🛎 En résumé : du coaching parental en pleine pulpe

Entre satire du perfectionnisme éducatif et fable bioénergétique, La Méthode Williams s’impose comme une comédie absurde à la croisée de Kaamelott et d’un documentaire Arte sur la permaculture. Les puristes du tennis risquent de s’étouffer, mais les amateurs de smoothies narratifs seront servis.


📌 L’Info : – Traitement réaliste

« La Méthode Williams » : un détournement absurde autour du biopic original

Le film La Méthode Williams est une parodie inspirée du biopic dramatique King Richard, sorti en 2021, dans lequel Will Smith incarnait Richard Williams, le père des championnes de tennis Serena et Venus Williams. Le film original retraçait la stratégie rigoureuse, controversée et admirable de ce père hors norme, qui a façonné les carrières de ses filles bien avant qu’elles ne foulent les terrains de Wimbledon.

Dans cette version parodique, l’œuvre pastiche transforme le sport en agronomie, troquant les balles pour des poires, tout en gardant les ressorts dramatiques du récit original. Le film joue sur l’ambiguïté autour du nom « Williams », qui désigne aussi une variété de poire, très connue en France. C’est ce double sens qui devient la source principale du comique, renforcé par des visuels absurdes et une narration volontairement « fruitée ».

Ce type de détournement humoristique s’inscrit dans la tradition des parodies cinématographiques à la française, s’inspirant aussi bien de La Cité de la peur que des pastiches viraux façon Golden Moustache ou Le Gorafi. L’objectif est autant de faire rire que de provoquer une réflexion sur les codes narratifs des biopics « à l’américaine ».

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