L’infox : — Bob Harley : le messie du DreadRock et roi des cylindres sacrés
🔥 De Nine Miles à Full Throttle Bay : le destin d’un prophète vrombissant
Né le 6 février 1945 à Nine Miles, quelque part entre une station-service abandonnée et un temple rastafari sponsorisé par WD-40, Robert Nestor Harley grandit avec un tournevis dans une main et une guitare dans l’autre. Sa mère, prêtresse des bougies d’allumage, et son père, soldat britannique amateur de burnouts, lui transmettent une double passion : le reggae et le rupteur.
« Ma première berceuse, c’était le bruit d’un V-Twin qui démarre mal. Depuis, j’ai jamais chanté juste, mais j’ai toujours chanté fort. » — Bob Harley dans « Kickstarter Spirit »
🏍️ The Wailers Motor Club : les débuts tonitruants du DreadRock
Adolescent, Bob fonde le groupe The Wailers M.C. avec ses potes Peter Cylindre et Bunny Piston. Leur mission ? Fusionner la douceur du reggae avec le grondement d’un pot d’échappement troué. Ce nouveau genre musical, le DreadRock, conquiert rapidement les routes et les festivals underground de la Jamaïque.
Leur premier succès, “No Woman, No Helmet”, fait scandale chez les motards puristes, mais devient rapidement un hymne dans tous les bars à juke-box de Kingston.
🎶 “Get up, stand up… pour vérifier la pression des pneus” — Slogan culte brodé sur des gilets pare-balles en jean.
🔫 1976 : agression à la clé Allen
Le 3 décembre 1976, Harley échappe de justesse à un attentat mécanique : un gang de mobylettes modifiées tente de l’éliminer à coups de clés Allen volées chez Casto. Blessé au tibia, il termine quand même son concert sur un trike amplifié, devant 6 000 bikers en larmes et 3 policiers perplexes.
Depuis cet épisode, il joue uniquement en bottes de sécurité renforcées, et compose ses solos en mode “anti-crevaison”.
🛠️ La mystique Harleyenne : “Peace, Grease & Respect”
Plus qu’un musicien, Bob Harley est un penseur lubrifié. Sa vision du monde : chaque être humain est un moteur à refroidissement émotionnel. Il développe une philosophie appelée méca-spiritualité rastafari, où la sagesse se mesure en tours/minute.
« Les chakras ? Moi j’en ai 4 : starter, filtre à air, boîte à vitesses et le carburateur du cœur. » – Extrait du sermon “Keep Calm and Kickstart”
Il fonde en 1979 la secte très secrète du Culte du Dernier Plein, où les adeptes méditent en rond autour d’un bidon vide en écoutant du Motörhead version dub.
🕊️ 1981 : la fin du voyage, mais pas de la route
Le 11 mai 1981, Bob Harley s’éteint paisiblement à Miami après un combat contre une usure avancée des roulements spirituels. Il est incinéré dans un pot catalytique doré, enveloppé de ses plus belles chaînes de transmission, selon le rite sacré du “Ride in Peace”.
Son mausolée est aujourd’hui un lieu de pèlerinage où les fidèles viennent graver des riffs en klaxon.
🎶 Discographie mythique et fictive
Année | Album | Tube emblématique |
---|---|---|
1970 | Clash of the Pistons | « No Woman, No Helmet » |
1973 | Live & Let Drive | « Chain Reaction » |
1975 | Rock & Rotor | « I Brake the Law » |
1978 | Karma Clutch | « Stir It Up… Your Engine » |
1980 | Exhausted but Free | « Redemption Rim » |
L’infox : — Bob Marley : une vraie icône, au-delà de la parodie
Né en 1945, Bob Marley est une légende de la musique reggae et un ambassadeur mondial de la culture jamaïcaine et du rastafarisme. Fondateur des Wailers, il révolutionne la scène musicale mondiale dans les années 70 avec des messages de paix, d’égalité et de spiritualité.
Il survit à une tentative d’assassinat en 1976, poursuit sa tournée malgré les blessures et devient une figure emblématique de la résistance non violente.
Mort en 1981 à 36 ans, son influence perdure à travers des générations de musiciens et de militants. Son œuvre musicale, riche en titres comme “One Love”, “Buffalo Soldier” ou “Redemption Song”, est inscrite dans le patrimoine culturel mondial.