🎬 Seul Au Monde sur Mars
« Houston, on a perdu le ballon. Je répète : Wilson est en orbite. »
📼 Synopsis officiel
Chuck Watney, un ingénieur logistique de chez FedEx, est expédié accidentellement sur Mars suite à un malentendu entre une livraison Amazon Prime et une fusée SpaceX. Alors qu’il devait juste déposer un colis suspect (une friteuse sans huile), il se retrouve seul, perdu, et avec pour seul ami… un ballon de volley qui parle le martien ancien : Wilson.
🌋 Rencontre au sommet (de cratère) et agriculture cosmique
Isolé depuis plusieurs semaines dans un abri de secours fabriqué avec des palettes FedEx, Chuck Watney survit tant bien que mal grâce à une alimentation strictement composée de barres protéinées goût “espace barbecue” et… d’une patate germée retrouvée dans un colis oublié destiné à l’INRA.
Un matin, alors qu’il tente désespérément de faire pipi dans un tube à essai (protocole d’irrigation expérimentale n°42-B), il aperçoit une silhouette encapuchonnée, s’approchant dans la tempête martienne.
👽 L’apparition : Matt Damon, version chamane de l’espace
Surgissant tel un mirage en combi NASA modifiée façon Gandalf des sables rouges, Matt Damon entre dans la tente de survie de Chuck en lançant une phrase légendaire :
“Je suis pas Jésus, mais je transforme le caca en patates.”
Chuck, bouleversé, lâche un cri :
“MATT DAMON ?! Mais… t’es pas censé être dans un autre film ?”
Matt Damon répond, l’air grave :
“On est tous dans le même film, frère. Le film de la vie. Et spoiler : y’a pas de popcorn.”
🥔 Coopération intergalactico-potagère
Après avoir échangé leurs meilleurs conseils de survie “roots” (Chuck lui apprend à décapsuler une bouteille avec un coin de rover, Matt lui file une recette de gratin martien à base de mousse spatiale), les deux naufragés de l’espace mettent en place une culture de patates communautaire.
Nom de code : POMMARS 9000.
Ressources | Fournies par… |
---|---|
Excréments pour engrais | 50% Matt, 50% Chuck, 100% odeur |
Terre martienne stabilisée | Fouettée à la main par Chuck |
Lumière | 1 lampe Ikea branchée sur panneau solaire |
Musique d’ambiance | Playlist “Patates et mélancolie” sur Deezer |
Le duo fonctionne à merveille, façon “Top Chef : Édition Interstellaire”.
“J’ai jamais vu quelqu’un éplucher une patate avec un cutter de chantier aussi sexy”, avoue Chuck, un brin troublé.
🪐 Une ferme sur Mars, une amitié en orbite
Les jours passent, les patates poussent, et Chuck et Matt développent une relation étrange, entre bromance cosmique et partenariat agricole.
Wilson, de son côté, se sent délaissé. Il entame une grève de la parole et se met à flotter en apesanteur passive-agressive, son expression peinte virant progressivement à la jalousie.
💔 Crise, explosion, et purée d’émotions
Tout bascule le jour où, en essayant d’installer un système d’irrigation avec un tuyau d’aspirateur Dyson, Chuck fait exploser la serre, propulsant les patates dans l’espace… et Wilson avec.
“NOOOOOOOOOON, WILSOOOOOOOOOOOON ENCORE ?!” – hurle Chuck, en écho au cri mythique du film original, mais cette fois en scaphandre.
🏁 Et ensuite ?
Matt et Chuck devront tout reconstruire. Leur amitié. Leur ferme. Et leur stock de patates.
Mais une chose est sûre :
Ils ne sont plus seuls au monde.
Ils sont deux.
Et ils puent la patate.
Fin de la suite du synopsis. À venir :
📽 « Wilson contre-attaque – Le retour du ballon vengeur »
ou
📦 « FedEx 2 – La livraison finale »
🪐 Deux films cultes. Un seul héros. Trop de patates.
Croisement improbable entre “Seul au monde” (Tom Hanks qui parle à un ballon comme ton oncle bourré à Noël) et “Seul sur Mars” (Matt Damon qui cultive des patates sur une planète hostile en mode « Top Chef : apocalypse edition »), le film réunit le meilleur des deux mondes :
- Un homme face à lui-même,
- Une planète rouge et hostile,
- Et un ballon qui pue la sueur et le monologue intérieur.
💥 Ouverture : L’accident spatial le plus con de l’histoire du cinéma
Alors que Chuck devait simplement scanner un QR code sur le pas de tir, il glisse sur une peau de banane cosmique (référence assumée à Mario Kart), et appuie sur “Lancer la fusée” avec son front.
La NASA panique, Jeff Bezos envoie un tweet passif-agressif, et Chuck décolle vers Mars… en short et Crocs.
“On a connu des lancements ratés, mais là, il est parti avec un thermos et un sandwich triangle”, confie un ingénieur anonyme de l’ESA, entre deux crises de rire.
🏐 La solitude, Wilson, et les patates lunaires
Privé de toute communication (sauf avec SFR, qui propose 2 barres de réseau intergalactique), Chuck survit grâce à une caisse FedEx mal livrée, contenant :
Contenu du colis | Utilité martienne |
---|---|
Un ballon de volley | Nouveau confident (et psy) |
Un lot de patates | Agriculture sous dôme Ikea |
Une VHS de « Cast Away » | Autodérision maximale |
Un mug “J’peux pas j’ai planète rouge” | Merchandising spatial |
Chuck développe alors un potager martien en se basant sur un tuto TikTok de Matt Damon, alias « l’indigène local » de la planète rouge. Ce dernier, habillé en toge de survie et parlant couramment le Martien-Siri, devient son guide, son ami, et peut-être plus si affinités… (mais non).
👽 Rencontre avec Matt Damon, ou presque
Matt Damon (le vrai, ou une hallucination provoquée par le manque de caféine) débarque sur un rover customisé façon Fast & Furious. Il sauve Chuck d’un mauvais coup de soleil cosmique, et l’aide à installer la première station de livraison FedEx sur Mars.
“Tu veux survivre ici ? Faut planter des patates, pas des stories Insta.” – Matt, philosophe intersidéral.
🧠 Anecdotes de tournage (non vérifiées mais tellement drôles)
- Tom Hanks et Matt Damon n’étaient pas disponibles, du coup c’est Franck Dubosc avec une perruque qui joue les deux rôles. (Oui, en même temps.)
- Wilson a exigé une loge individuelle sur le tournage. Il refuse encore de signer pour la suite.
- Le film a été classé « Comédie existentielle spatiale » au Festival de Trifouillis-les-Nébuleuses.
- La scène finale de la patate géante qui explose a été censurée au Canada, pour cause de “blague sur les féculents jugée trop intense”.
🎟 Verdict ?
Une comédie galactique entre Groland, Palmashow, et Interstellar sous acide, qui mêle aventure, solitude, botanie de l’extrême et absurde existentiel.
Seul au monde sur Mars, c’est :
- une histoire de survie improbable,
- un cri d’amour à FedEx (ou presque),
- et une masterclass sur l’art de parler à un ballon qui ne répond jamais (sauf en emoji).
🎥 BIENTÔT AU CINÉMA (ou dans ton frigo si t’ouvres assez longtemps la porte)
Partie B – Le traitement réaliste : Entre Tom Hanks, Matt Damon et la culture des patates sur Mars
« Seul au monde » (2000) réalisé par Robert Zemeckis, raconte l’histoire de Chuck Noland, un cadre de FedEx naufragé sur une île déserte après un crash d’avion. Son unique compagnon : Wilson, un ballon de volley sur lequel il projette ses émotions.
« Seul sur Mars » (2015), adaptation du roman d’Andy Weir, suit Mark Watney (Matt Damon), botaniste laissé pour mort sur Mars. Grâce à ses compétences scientifiques, il parvient à cultiver des pommes de terre en utilisant ses excréments comme engrais, et tente de survivre jusqu’à l’arrivée d’un secours improbable.
Ces deux films partagent des thématiques fortes :
- La solitude extrême
- L’ingéniosité humaine
- Le rapport au temps, à la survie et au sens de la vie
Le ballon Wilson est devenu un symbole pop-culturel de l’amitié imaginaire, tandis que la culture des patates dans « Seul sur Mars » a inspiré de vraies recherches sur l’agriculture spatiale, notamment par la NASA et l’International Potato Center (au Pérou).
Matt Damon, dans son rôle, a même contribué à vulgariser les défis de la vie sur Mars, avec une approche crédible scientifiquement… mais dans un décor hollywoodien bien sûr.