L’infox : Arrivée fracassante des 100 barons de la poudre à Vendin-le-Vieil : « C’est pas une prison, c’est un before ! »
La poudre aux yeux… et aux narines
Vendin-le-Vieil, petit village du Pas-de-Calais connu pour ses ronds-points, son silence rural et sa prison de haute sécurité, vient d’être promu capitale nationale du cartel-caritatif. Depuis quelques jours, les habitants n’ont plus vu le soleil : une étrange brume blanche stagne au-dessus des grilles du centre pénitentiaire. Spoiler : ce n’est pas du brouillard breton.
🚌 « On aurait dit deux bus de la Star Ac’ version Medellín ! », confie un riverain ému, encore sous perfusion de Ventoline.
Car ce lundi, deux bus blancs (modèle “Breaking Bad Deluxe”), escortés par une armée de gendarmes sous cocaïne d’État (aka Red Bull + protocole Darmanin), ont déversé les 100 plus gros narcotrafiquants du pays dans la cour centrale. Il y avait de tout :
- le baron d’Aulnay-sous-Bois
- le chimiste de Charleville-Méth’
- le logisticien de Limoges
- et même « Bébert le Coupé-décalé« , ex-ambassadeur du cartel en discothèque.
Ambiance Breaking Nord
Dès leur descente des bus, les 100 pensionnaires se sont répartis les rôles comme dans un escape game géant :
Pseudonyme | Spécialité | Cellule |
---|---|---|
« Cristobal le Pur » | Coupeur certifié ISO 9001 | 203B |
« La Mule » | Avaleuse d’expérience | 108C |
« EscroBarbie » | Blanchiment & lashes 3D | 305A |
« Kétamike » | Rave & deals à l’ancienne | Isolement, logique |
« Jean-Mouloud » | Philosophe de la résine | Partage avec « Tony le Brisquard » |
Le personnel pénitentiaire, un peu dépassé, a dû interdire les machines à laver après que plusieurs blocs aient été convertis en “poudroirs artisanaux”.
La cantine a explosé son budget “sucre glace” – “on a retrouvé des sachets un peu partout, même dans les éponges”, avoue un agent en PLS (Protection Légale Sucrée).
Garde à vue, mais en Gucci
Tous les matins, l’appel se fait désormais en français, espagnol, et dialecte TikTok. On murmure que la cellule 404 héberge un studio clandestin de rap drill où sont déjà passés Booba, un sosie de PNL et un gardien fan de Jul. La ligne éditoriale de la prison :
🎶 “Y a plus de réseaux à l’extérieur, on capte tous les bars ici.”
Première réunion des « Anonymes Anonymes »
Les autorités ont rapidement mis en place des ateliers de déradicalisation par la permaculture (plantation de tomates cerises dans des sachets de coke recyclés).
Un groupe de parole a également vu le jour :
“Bonjour, je m’appelle Jimmy, j’ai 14 millions d’euros en lingots et ça fait 3 jours que je n’ai pas menacé un douanier.” 👏
Gérald Darmanin en peignoir de combat
Le ministre de la Justice, fraîchement reconverti en Boss final de Tekken mode pénitentiaire, est venu inspecter les cellules avec un chien anti-stup’ et un drone en forme de balance.
🗣️ « On a mis trois agents par détenu. Et un psychanalyste pour chaque caniche détecteur. On ne plaisante plus. »
L’opération, baptisée sobrement “Fermeture du robinet à poudre”, a été saluée par Netflix France qui envisage une mini-série documentaire :
« Inside Vendin » – 100 jours de solitude et de savon parfumé au Speed ».
📌 L’Info : Transfert des 100 plus gros narcotrafiquants à Vendin-le-Vieil : sécurité maximale et fermeté assumée
Une décision stratégique du ministère de la Justice
Le 25 juillet 2025, Gérald Darmanin, ministre de la Justice, a confirmé le transfert vers la prison de haute sécurité de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) des 100 détenus considérés comme les plus dangereux narcotrafiquants du pays.
Ces détenus ont été identifiés par les juges d’instruction, le renseignement pénitentiaire et l’administration centrale, selon leur influence encore active depuis leur cellule, notamment via des téléphones portables.
Un encadrement ultra-renforcé
- 250 agents pénitentiaires encadrent les 100 détenus, soit un ratio inédit de 1 agent pour 0,4 détenu, contre 1 pour 5 dans une maison d’arrêt classique.
- Les cellules sont surveillées en continu, et les contacts avec l’extérieur fortement limités.
- Des fouilles renforcées et des brouilleurs de réseau visent à empêcher toute communication non autorisée.
Objectif : couper les réseaux de l’intérieur
Gérald Darmanin insiste sur la volonté de l’État de briser les chaînes de commandement mafieuses encore actives depuis les centres de détention.
« Ce n’est pas une simple mutation géographique, c’est un message de fermeté envers les réseaux criminels. »
Le projet s’inscrit dans une stratégie nationale de lutte contre le narcotrafic, où les prisons sont désormais considérées comme des zones sensibles à sécuriser au même titre que les frontières.