L’infox :
⚡ Une exécution « capitale » digne d’un Classico
10 septembre 1977, prison des Baumettes, Marseille. La France tire sa dernière cartouche avec Hamida Djandoubi, décapité par une guillotine qui aurait mérité un contrat d’entretien chez Castorama.
Coup de théâtre : l’histoire retiendra que c’est à Marseille, la ville de l’OM, que le dernier « but » de la peine capitale a été marqué.
« On ne gagne peut-être pas la Ligue 1, mais on reste invaincus sur la guillotine », aurait déclaré un supporter fictif, bière à la main. 🍺⚽️🔪
🥖 Marseille, à jamais les… derniers !
Quand Paris se targue d’être « Ville Lumière », Marseille balance fièrement son slogan revisité :
- OM en 1993 : À jamais les premiers ! 🏆
- Baumettes en 1977 : À jamais les derniers ! 🔪
Un tableau de comparaison façon site de foot :
Année | Événement | Résultat | Slogan |
---|---|---|---|
1977 | Dernière décapitation | Hamida Djandoubi 0 – Guillotine 1 | « À jamais les derniers » |
1993 | Ligue des Champions OM | OM 1 – Milan AC 0 | « À jamais les premiers » |
La ville peut désormais se vanter d’un doublé historique : premier club français champion d’Europe ET dernière tête tombée sous la guillotine.
La vraie « tête de série », quoi.
🧩 La guillotine, sponsor officieux de l’OM ?
Si la guillotine avait eu un sponsor maillot, on aurait pu lire :
- « Gillette – la perfection au masculin »
- « Quick : venez comme vous êtes… mais pas entier »
- « Decap’Four » : pour une coupe nette et sans bavure
Bref, le dernier match de la peine capitale s’est joué sans prolongations. Une victoire sèche, sans appel, ni VAR.
📌 L’Info :
La dernière exécution capitale en France eut lieu le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes de Marseille.
Le condamné, Hamida Djandoubi, reconnu coupable d’actes de torture et de meurtre, fut exécuté à la guillotine.
Cet événement marqua un tournant dans l’histoire judiciaire française. Après cette date, bien que la peine de mort resta légale, plus aucune exécution ne fut pratiquée.
La peine capitale fut officiellement abolie en France en 1981, sous la présidence de François Mitterrand, grâce à la loi portée par le garde des Sceaux Robert Badinter.
Aujourd’hui, la France s’engage activement contre la peine de mort dans le monde, en la considérant comme contraire aux droits humains fondamentaux.