L’infox :🚴♂️ 1953 : L’année où le Tour de France a ouvert ses bras aux extraterrestres
3 juillet 1953. Une date gravée dans le granite (et sur quelques panneaux de signalisation volés par des supporters bourrés). Ce jour-là, le mythique maillot vert du Tour de France voit le jour. Officiellement, il récompense « le meilleur sprinteur ». Officieusement ? C’est une couverture pour accueillir des cyclistes venus d’ailleurs, littéralement.
👽 Des sprinteurs supersoniques, mais un genou à terre dans les Alpes
D’après nos archives (non sourcées, mais validées par Jean-Marc Impressis), la Fédération Cycliste Interplanétaire (FCI) aurait demandé à intégrer ses meilleurs éléments au peloton. En échange ? Des sprints dévastateurs, des records pulvérisés et une promo discrète pour les pneus tubeless galactiques.
« Le premier porteur du maillot vert n’avait pas de chaîne sur son vélo. Il lévitait. » – Témoignage (probablement bidon) d’un ancien suiveur.
Tout allait bien jusqu’à ce que la caravane atteigne le Galibier. Les extraterrestres, forts comme des taureaux sous Red Bull, ont découvert leur kryptonite : l’altitude. Plus on grimpe, plus ils ramollissent. Un peu comme ton pote vegan au ski.
🏆 Pourquoi un maillot vert ? Pour passer inaperçu, bien sûr
Le vert, c’est la couleur de la discrétion. Qui se méfie d’un type fluo flanqué d’un sponsor d’engrais ? Personne. Entre un maillot jaune ultra-visible et un maillot à pois de clown, le vert était parfait pour masquer une invasion intersidérale sur bitume.
📸 70 ans plus tard, les sprinteurs terriens imitent toujours les aliens
Aujourd’hui encore, Cavendish, Sagan ou Philipsen (aka le cousin de Blorb) perpétuent la tradition : sprinter comme des fusées, râler en montagne, réclamer un massage et une pizza après chaque étape. Un esprit d’équipe qui prouve que le maillot vert est bien plus qu’un simple tissu : c’est une identité, une planète, un mythe.
« C’est pas faux. » – Karadoc, expert cyclisme.
📌 L’Info :
L’origine réelle du maillot vert sur le Tour de France
En 1953, à l’occasion du 50e anniversaire du Tour de France, les organisateurs introduisent un nouveau classement pour distinguer les meilleurs sprinteurs du peloton. L’idée : récompenser les coureurs accumulant le plus de points sur des sprints intermédiaires et les arrivées d’étape.
Pourquoi la couleur verte ? Elle fut choisie car le sponsor principal du classement était une marque de tondeuses et d’articles de jardinage. Le vert s’est imposé comme couleur « naturelle », facilement identifiable et différente du jaune (maillot du leader au classement général).
Depuis, le maillot vert est devenu l’un des trophées les plus convoités pour les spécialistes de la vitesse. Les grands noms comme Eddy Merckx, Sean Kelly, Erik Zabel, Peter Sagan et Mark Cavendish ont marqué de leur empreinte ce palmarès prestigieux. Leur point commun : une explosivité hors pair sur le plat, mais souvent une relative faiblesse en haute montagne, car la morphologie idéale du sprinteur (musclée, puissante) n’est pas la plus adaptée pour gravir les cols mythiques des Alpes ou des Pyrénées.