Après la réussite de l’ascension de l’Everest par Hillary en 1953, par une sorte d’effet boule de neige, d’autres alpinistes réussiront également cette performance dans les années qui suivirent
L’INFOX : « Ascension de l’Everest : Ils cherchaient la paix, le réseau et une glace… Ils ont trouvé la mort, le givre et des hallucinations » ❄️📡🍦
📰 « Edmund Hillary atteint l’Everest pour fuir la conversation avec sa belle-mère »
29 mai 1953. Alors que l’humanité s’apprête à découvrir le rock’n’roll, deux hommes décident eux de grimper une montagne où même les yétis refusent d’installer une terrasse. Edmund Hillary, apiculteur reconverti en alpiniste par pur désespoir relationnel, aurait déclaré avant l’ascension :
🗣️ « Il me fallait un prétexte solide pour éviter le dîner familial de dimanche. L’Everest semblait une excuse acceptable. »
📶 « Pas de Wi-Fi au sommet : une indignation mondiale naît 60 ans trop tôt »
Après des semaines d’ascension dans des conditions aussi glaciales que le cœur d’un contrôleur SNCF à 22h, Hillary et Tenzing atteignent enfin le sommet… pour découvrir qu’aucune borne 4G ne les attend. Le hashtag #NoWiFiEverest est lancé rétroactivement par les historiens indignés.
« On s’attendait à une connexion, au moins un petit tweet », aurait pesté Tenzing avant de redescendre sans pouvoir publier la moindre story.
🍦 « La rumeur d’un vendeur de glaces au sommet s’effondre : ce n’était qu’un rocher »
L’ascension aurait été motivée par un malentendu géographique. Hillary aurait entendu dire que le sommet cachait un stand de glaces artisanales. Malheureusement, ce n’était qu’un bloc de pierre vaguement vanillé. « On a léché pendant 2 minutes avant de réaliser que ce n’était pas un Magnum », a-t-il confié, lèvres bleues.
😵💫 « Altitude et attitude : Quand grimper très haut te fait halluciner un karaoké de marmottes »
À 8 000 mètres, le cerveau humain devient une version bêta de lui-même. Hillary aurait commencé à parler à ses chaussures, tandis que Tenzing affirmait entendre Aznavour chanté par des bouquetins.
🧠 Symptômes recensés :
- Récitation spontanée de poèmes surréalistes
- Tentative de cuisiner des cailloux
- Croyance en l’existence d’un spa au sommet
🧊 « L’Everest : ce congélateur naturel enfin conquis pour y stocker les barquettes Picard »
La conquête de l’Everest aurait été en réalité le premier partenariat non-officiel avec l’industrie du surgelé. Une caisse de gratins dauphinois congelés aurait été abandonnée là-haut en 1953. Aujourd’hui encore, elle serait parfaitement comestible. D’après une rumeur scientifique non vérifiée :
« À -40°, même un flan aux œufs survit à l’Histoire. »
L’INFO : La véritable information : L’ascension historique de l’Everest
📅 Le 29 mai 1953 : un sommet atteint pour la première fois
Edmund Hillary, néo-zélandais, et Tenzing Norgay, sherpa népalais, deviennent les premiers humains à atteindre le sommet du mont Everest, le plus haut point sur Terre, culminant à 8 848 mètres d’altitude.
Cette ascension est réalisée dans le cadre d’une expédition britannique dirigée par John Hunt, à une époque où l’oxygène, les crampons, les cartes précises et même les prévisions météo étaient encore très approximatifs.
👬 Une collaboration mythique, un symbole international
Bien que la presse britannique ait initialement mis en avant Hillary, les deux hommes ont affirmé qu’ils avaient atteint le sommet ensemble, Hillary écrivant :
🗣️ « Sans Tenzing, je ne serais jamais arrivé là-haut. »
Tenzing, quant à lui, a toujours montré une grande loyauté et humilité :
🗣️ « Nous avons atteint le sommet ensemble, comme une cordée unie. »
❄️ Des conditions extrêmes et un exploit technique
L’ascension a duré plusieurs semaines, avec des camps installés à différentes altitudes. Le duo final a quitté le camp à 8 500 mètres avec un matériel rudimentaire :
- Bottes isolantes de cuir
- Masques à oxygène lourds
- Crampons et piolets « à l’ancienne »
- Cartes et boussoles
Les températures avoisinaient les -40°C, avec un air contenant environ un tiers de l’oxygène disponible au niveau de la mer, rendant chaque mouvement épuisant.
📸 Une photo pour l’Histoire (et pas de selfie)
Au sommet, une photo est prise par Hillary de Tenzing brandissant son piolet. Il n’existe aucune photo de Hillary au sommet car Tenzing, par modestie ou manque de compétence technique, n’a pas pris l’appareil. Un acte emblématique de leur esprit de camaraderie.
🏅 Un triomphe pour l’humanité et pour le Royaume-Uni
La nouvelle est annoncée dans la presse mondiale le 2 juin 1953, jour du couronnement de la reine Elizabeth II. Hillary est anobli, Tenzing reçoit de nombreuses distinctions internationales. Mais certains dénoncent encore aujourd’hui l’inégalité de traitement médiatique et historique entre les deux héros.
🔍 Tableau récapitulatif de l’ascension
| Élément | Détail |
|---|---|
| Date | 29 mai 1953 |
| Altitude | 8 848 mètres |
| Grimpeurs | Edmund Hillary (NZ), Tenzing Norgay (Nepal) |
| Température | Environ -40°C |
| Oxygène | Présent, mais en quantité très réduite |
| Durée de l’ascension finale | Environ 7 heures pour atteindre le sommet |
| Photo au sommet | Uniquement Tenzing |
| Réaction mondiale | Enthousiasme, symbole de dépassement humain |
📣 Et vous ? Prêt à grimper ou à rester au chaud avec un documentaire et une raclette ?
Si cette épopée vous a glacé le dos et réchauffé le cœur, découvrez nos autres articles satiriques sur les grandes aventures humaines — des fusées ratées aux plongeons non consentis.
