L’infox :🧨 Fat Man : le pet qui fit trembler le Japon
Une flatulence militaire au goût amer
Nagasaki, 9 août 1945 – C’est l’histoire d’un pet de compétition, largué à 11h02, qui allait changer l’histoire du monde. Surnommée « Fat Man », la bombe atomique américaine n’avait rien d’un pétard de kermesse. Avec ses 4,6 tonnes et son look de suppositoire nucléaire, elle a percuté la ville japonaise de plein fouet, dans un silence d’abord… puis un boucan de tous les diables. 🔥💨
“On aurait dit que la planète avait mangé un chili con carne géant et lâché la pression”, témoigne un historien amateur de métaphores scatologiques.
Le nom qui pue l’humour douteux
La bombe « Fat Man » ne doit pas son nom à Cyril Hanouna (malgré les rumeurs), mais à un surnom affectueux inspiré du physique rondouillet de Winston Churchill. Car oui, en pleine guerre, l’armée américaine s’est permis de baptiser une arme apocalyptique comme un gros sketch des Robins des Bois.
Imaginez un instant : des généraux autour d’une table, en train de choisir entre « Big Tonton Pète-Fort » et « Monsieur Flatulence ». La dignité, elle aussi, a été victime collatérale de la guerre.
Nom du projet | Inspiré par | Effet secondaire |
---|---|---|
Fat Man | Churchill | Flatulences géopolitiques |
Little Boy | Roosevelt en CM2 | Syndrome du pet mou |
Plan Manhattan | Broadway, mais nucléaire | Explosion au 3e acte |
Un pet nucléaire dans l’histoire
Le 6 août, Hiroshima s’était déjà pris un premier coup de pression intestinal avec « Little Boy ». Mais trois jours plus tard, l’Oncle Sam a décidé de doubler la mise, comme un ado en manque de buzz sur TikTok. « Fat Man » est donc arrivé en parachute, avec le style d’un père Noël obèse et radioactif, offrant un “cadeau” à 70 000 personnes : la disparition.
“On pensait que ça allait sentir le saké, pas le barbecue humain”, ironise un spectre sarcastique dans le fond d’un manga.
Le champ lexical du prout : arme de dissuasion massive ?
Il est désormais avéré que la dissuasion nucléaire repose entièrement sur une peur primitive : celle du bruit de pet trop fort. Entre « missile balistique intercontinental » et « gros prout dans une salle de classe », la frontière est mince.
Une source anonyme à la CIA avoue même :
“Notre politique repose sur la stratégie du Pet Ultime. Celui qu’on ne veut pas entendre… mais surtout pas sentir.”
📌 L’Info :
Ce qu’était vraiment « Fat Man »
Le 9 août 1945, à 11h02 heure locale, la seconde bombe atomique jamais utilisée en temps de guerre fut larguée par les États-Unis sur Nagasaki. Son nom de code : Fat Man, une ogive au plutonium de 21 kilotonnes. Trois jours après la destruction d’Hiroshima, cette deuxième attaque fit environ 70 000 morts instantanés, et des dizaines de milliers de blessés ou irradiés dans les mois et années suivants.
Pourquoi deux bombes ?
L’objectif stratégique de ces bombardements : forcer la reddition du Japon sans devoir envahir l’archipel, ce qui aurait causé selon les estimations américaines des centaines de milliers de morts supplémentaires. Le Japon capitula six jours après Nagasaki, le 15 août 1945.
Une mémoire radioactive
Aujourd’hui, ces événements demeurent au cœur des débats historiques et éthiques sur l’usage de l’arme atomique. Certains y voient une nécessité militaire, d’autres un crime contre l’humanité. Les survivants (hibakusha) témoignent encore de la douleur physique, morale, et de la stigmatisation subie.