🕯️4 Juin 1798 : Décès de Casanova, tous les ex et les cocus sont venus rendre un dernier hommage à Giovanni
⚰️ Un enterrement d’État (de manque de pudeur)
Venise – 4 juin 1798. Le rideau est tombé sur la dernière scène de la vie de Giacomo Casanova, dramaturge, écrivain, diplomate, libertin notoire, et prototype officiel du « fuckboy » XVIIIe siècle. Il est mort à l’âge de 73 ans, entouré de ses dernières conquêtes, ses regrets amoureux, et probablement quelques IST en embuscade.
Le cercueil, trop étroit pour contenir l’égo du défunt, a été transporté jusqu’au cimetière par six porteurs torse nu, huilés à la mode vénitienne. Parmi la foule compacte venue lui rendre hommage, on notait :
- 1 204 ex-amantes,
- 378 maris cocufiés (dont 74 toujours en procédure de reconnaissance de paternité),
- 12 enfants présumés,
- Et un perroquet nommé « Minou », qui criait régulièrement « Encore une tournée ! »
💀 La Faucheuse, première fan de Giovanni ?
Selon une rumeur que même Wikipédia n’ose pas publier, la Mort elle-même aurait tenté à trois reprises de récupérer Casanova avant le 4 juin 1798. Première tentative en 1769, lorsqu’il a chuté dans un canal gelé : la Faucheuse s’est pointée en traîneau macabre, mais il lui aurait dit :
« J’ai froid, mais vous êtes… envoûtante. »
Elle est repartie rougir sous sa capuche.
Deuxième tentative en 1784, lors d’un duel contre un noble jaloux (qui s’était fait piquer sa femme ET sa belle-mère). La lame frôle son cœur, Casanova regarde la Faucheuse dans les yeux et lui glisse :
« M’accorderiez-vous cette danse éternelle ? »
Résultat : elle a fait semblant de recevoir un texto et s’est évaporée dans un nuage de violettes.
Troisième passage : une intoxication aux huîtres suspectes en 1792. Casanova, cloué au lit, l’aurait suppliée :
« Si je dois partir, ce sera dans vos bras, ma belle. »
Folle amoureuse, elle lui aurait offert six années de sursis, une nuit torride dans les limbes, et une claque mémorable au réveil.
Depuis, on dit que la Faucheuse a développé un goût pour les libertins… et les perruques poudrées.
💔 L’hommage des cœurs brisés et des slips oubliés
La cérémonie a débuté par une lecture poignante de ses lettres d’amour, classées par date, intensité du râteau, et niveau de poésie approximative. Une ex, vêtue de noir et de rancune, a lancé une rose sur le cercueil en criant :
« Tu m’avais dit que j’étais la seule ! »
🧠 Des lettres, des conquêtes et beaucoup trop de draps sales
Selon les mémoires de Casanova (autopubliées sur « Papyrus & Chill »), il aurait eu plus de 130 aventures amoureuses. « C’est pas un homme, c’est une politique étrangère ! » aurait résumé une politologue de l’époque, encore sous le charme de l’animal.
Le Vatican a envoyé un message de condoléances en forme de post-it discret :
« RIP. T’aurais pu te confesser un peu plus souvent. — Dieu »
Une rumeur court qu’un musée serait en création : Le Casanova Experience — un parcours immersif entre alcôves, perruques poudrées, et regards langoureux en réalité virtuelle. À la sortie, chaque visiteur repart avec un test de dépistage et une phrase sexy en italien.
👀 Anachronisme assumé, gags assumés
Spotify a temporairement crashé ce 4 juin 1798 (en avance sur son invention) après une playlist hommage intitulée « Baise-moi comme Casanova », composée de luths suggestifs et de soupirs baroques remixés.
Quant à Netflix, il aurait signé une série biographique intitulée « Casanova : Le Grand 8 » avec Pierre Niney dans le rôle-titre, et un twist scénaristique : Giovanni était peut-être… une femme ?! (à suivre, saison 2).
🅑 PARTIE B – Traitement réaliste
Qui était Casanova ?
Giacomo Casanova (1725-1798) fut un écrivain, aventurier et diplomate vénitien, célèbre pour ses Mémoires où il raconte, sans filtre ni pudeur, sa vie rocambolesque de séducteur, ses voyages à travers l’Europe, ses évasions de prison et ses nombreuses intrigues amoureuses.
Bien plus qu’un simple « tombeur », Casanova fut aussi un homme cultivé, féru de sciences, de politique et de philosophie. Il a côtoyé les plus grands esprits de son temps, de Voltaire à Catherine II de Russie.
Sa fin de vie
Casanova termine ses jours en Bohême, dans le château de Dux (aujourd’hui Duchcov, en République tchèque), où il est bibliothécaire. Il meurt le 4 juin 1798 à l’âge de 73 ans, après avoir rédigé ses célèbres Mémoires, « Histoire de ma vie », œuvre aussi littéraire qu’historique, considérée aujourd’hui comme un témoignage précieux du XVIIIe siècle européen.
Son image de libertin a souvent éclipsé son rôle de témoin de son époque. Il reste un personnage complexe, à la fois intellectuel raffiné et homme de plaisirs.