L’INFOX :
💩 30 avril 1945 : Le plus gros caca de l’Histoire enfin évacué
Adolf Hitler : 56 ans, constipé de haine
Berlin, 1945. Fin de partie pour le Troisième Reich. Tandis que les Alliés écrasent le nazisme à coups de bottes et de bombes, un événement gastro-historique passe inaperçu : le plus long étron idéologique de l’histoire moderne est enfin expulsé.
Son nom : Adolf Hitler.
Sa forme : un caca en spirale.
Son odeur : pestilentielle depuis Mein Kampf.
Une révélation scatologique capitale
L’image choc du 30 avril 1945, révélée récemment par un photographe soviétique au flair (très) particulier, montre un uniforme vide, posé au sol, coiffé d’un monticule brun aux contours douteusement familiers. Pas de corps. Pas de sang. Juste un costume et un étron dessus. Voilà tout ce qui reste du dictateur et qui résume finalement bien le personnage et son oeuvre envers l’humanité.
« Il ne s’est pas suicidé, il s’est auto-éliminé », commente Olga Merdejev, historienne des formes molles de la dictature.
« On peut dire qu’il a fini comme il a vécu : en salissant tout. »
Selon une théorie récente validée par plusieurs toilettes publiques berlinoises, Adolf Hitler n’a jamais été un homme. C’était un amas de rancœurs, d’angoisses capillaires, et de diarrhée morale solidifiée. Une matière fécale animée par la haine, propulsée au pouvoir par les flatulences de la propagande.
« Un étron déshydraté avec une moustache et une idée très floue de l’urbanisme. »
Un caca qui aura mis 56 ans à sortir
Décrit par ses proches comme « lourd à digérer », Hitler a intoxiqué l’Europe par son odeur fétide, comme une andouillette laissée en plein soleil. De 1933 à 1945, il aura fermenté dans les esprits, gonflé les hémorroïdes de l’histoire, et bouché les canalisations de la pensée.
Le 30 avril, les Russes approchent du bunker. Panique dans le sphincter du Reich. Et là, ça y est. On pousse. Et ce qui sort n’est pas un héros déchu. C’est un bon gros tas de « plus jamais ça ».
« On aurait préféré une fin plus noble, mais bon, vu le début, on est déjà contents qu’il ait pas explosé en confettis de bile », précise un général allié.
Le mythe enfin désaéré
Finies les théories fumeuses : Hitler n’a pas fui en Argentine, ni vécu incognito comme disquaire à Ibiza. Il a fondu dans l’oubli comme un étron dans une fosse sceptique. La vraie trace qu’il laisse, c’est au sol, sur une veste trop grande pour lui.
L’INFO :
Le 30 avril 1945, alors que la Seconde Guerre mondiale touche à sa fin, Adolf Hitler se suicide dans son bunker à Berlin, alors encerclé par les forces soviétiques. Il met fin à ses jours avec une arme à feu, tandis qu’Eva Braun, son épouse depuis 24 heures, prend du cyanure.
Leurs corps sont brûlés selon ses consignes, pour éviter toute profanation ou exploitation propagandiste. Cet acte marque la fin du régime nazi, quelques jours avant la capitulation totale de l’Allemagne le 8 mai 1945.
Le suicide d’Hitler symbolise la chute d’un régime fondé sur l’antisémitisme, la dictature, la guerre et le génocide. Sa mort a été confirmée par de nombreux témoignages et par des investigations postérieures, mettant un terme à de multiples rumeurs de fuite ou de survie clandestine.
Catégories : Guerre – Histoire
Crédit Photo : Chat GPT 4o