L’infox : 28 septembre 1895 : Louis Pasteur, l’homme qui avait du chien
“Obsèques très anim…ales” : la meute rend hommage
Marnes-la-Coquette, 28/09/1895 — Sous un ciel mi-figue mi-fafouille (météo scientifique), une foule compacte de notables et de toutous en deuil s’est réunie pour saluer Louis “Toutou-Risk” Pasteur, l’homme qui a mis la rage en laisse.
« C’était un mâle de chien, mais il n’a pas-t(eu)r peur », confie un canidé au flair journalistique. 🐶
« Grâce à lui, on a arrêté d’aboyer au mauvais microbe. » — Un chien bien renseigné, museau sur la source (de culture)
Enquête : comment un chimiste a dressé la rage
- Piste 1 : la “canine académie” — Dans son “labo-kennel”, Pasteur dresse des virus comme d’autres des caniches.
- **Piste 2 : la pasteurisation — l’art de chauffer les liquides sans faire bouillir le sang-froid.
- **Piste 3 : la fermentation — quand le vin fait “Wouf” avant d’être servi… puis se calme parce qu’on lui a parlé germement.
La rédaction sort sa niche : le lexique croisé
Biographie de Pasteur | Travaux contre la rage | Jeu de mots (pas du tout honteux) |
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Arbois, ses vacances en 1864 | Chauffe les microbes | “Arbois et bas” pour les virus |
Dole (naissance) | Neutralise la lyssa | Dole-ment fort contre la rage |
Institut Pasteur (ouvert 1888) | Centre anti-morsures | La Maison SPA-steur |
Marnes-la-Coquette (décès) | Les chiens se tiennent coquets | “Dernier dog-torat” |
“Breaking miaou” : fil info façon faux JT
- 12 h 01 — La germ-theory déclare la fin du règne du pifomètre.
- 12 h 07 — Les microbes, outrés, promettent un démenti formel (culture négative).
- 12 h 42 — Le service après-morsure confirme : premier patient sauvé en 1885, Joseph M., “sauvé par la seringue, pas par la cloche” (on est anti-clochardisation des faits, merci).
Micro-trottoir “esprit parodie de presse”
Dans un style Gorafi/Kaa-malo(t)t assumé — sans rires enregistrés mais avec running gag — la rédaction a demandé : « Et vous, que retenez-vous de Pasteur ? »
- “Qu’il a mis un collier aux microbes.” — une infirmière
- “Qu’il a rendu le verre plus sûr que le vers.” — un poète de comptoir
- “Qu’il a changé nos vies : on déguste moins les maladies.” — un caviste
(humour de parodie web/plateau, héritage “Le Gorafi”, “Kaamelott”, “Les Nuls”, etc.)
Punchlines à placer en dîner (si le chien vous regarde manger)
- “Sans Pasteur, le monde serait encore plein de bêtes de scène bactériennes.”
- “Il a fait taire le chien-chiment de la rage.”
- “À ceux qui mordent aux fake news : vaccinons d’abord les idées.” (esprit satire douce, stand-up à la Broute/“fake JT”)
📌 L’Info : – Traitement réaliste
Louis Pasteur (1822–1895) est un chimiste et microbiologiste français, figure majeure de la théorie des germes et des vaccins. Né à Dole (27 décembre 1822), il est notamment connu pour :
- La pasteurisation (mise au point en 1864 à Arbois pour stabiliser vins et bières par chauffage modéré).
- Les travaux fondateurs en fermentation et la réfutation de la génération spontanée (socle de la microbiologie moderne).
- Les vaccins contre l’anthrax (1881) et surtout contre la rage, dont la première inoculation humaine réussie a lieu le 6 juillet 1885 sur Joseph Meister, un garçon mordu à de multiples reprises ; la procédure sera rapidement adoptée dans le monde entier.
Pour soutenir ces avancées, l’Institut Pasteur est créé par décret le 4 juin 1887 et inauguré le 14 novembre 1888 à Paris ; il devient un centre international de recherche, de soins et d’enseignement en maladies infectieuses.
Décès : Pasteur meurt le 28 septembre 1895 à Marnes-la-Coquette (annexe de l’Institut), à 72 ans.
Pourquoi la rage était si redoutée ?
La rage est une maladie virale quasi toujours fatale après l’apparition des symptômes ; à la fin du XIXᵉ siècle, l’inoculation post-exposition de Pasteur (virus atténué par dessiccation de tissus nerveux de lapin) offre pour la première fois une chance de survie aux personnes mordues.
Héritage : La combinaison méthode expérimentale + application sanitaire de Pasteur a façonné l’immunologie moderne et la prévention des maladies infectieuses, via un réseau d’instituts dans le monde.