L’infox : 🟡 24 juillet 2005 : Lance Armstrong remporte son 7e Tour de France sans jamais transpirer (ni uriner normalement)
🚴♂️ Un exploit surhumain, validé par l’univers et trois dauphins médiums
Paris, Champs-Élysées — Ce 24 juillet 2005, sous les vivats d’une foule jaune comme une moutarde triomphante, Lance Armstrong entre dans la légende pour la septième fois consécutive. Un record jamais égalé, ni même envisagé par des êtres humains ayant encore des mollets.
L’athlète texan, manifestement composé à 63 % de volonté et 37 % de matière inconnue par la science, a dominé la compétition sans suer, sans faillir et sans uriner dans un récipient conventionnel.
“On a tenté un premier contrôle antidopage, mais le récipient a fondu. Littéralement. Comme si on y avait versé du plutonium liquide.” — témoigne Gérard Pissette, ancien contrôleur de l’UCI en reconversion dans l’apiculture.
🧪 Zéro test positif, mais beaucoup de phénomènes paranormaux
Depuis ses débuts, Armstrong n’a jamais été contrôlé positif. Normal : il n’a jamais été contrôlé tout court. À chaque tentative, un phénomène inexpliqué sabotait le processus :
Tentative de contrôle | Résultat |
---|---|
Flacon en plastique | Fondu façon bougie Ikea |
Flacon en verre | Explosion en notes de jazz |
Test sanguin | Le sang chantait du Céline Dion |
Analyse capillaire | Les cheveux se tortillaient pour écrire « Houston, we have a legend » |
En 2003, une sonde française avait été envoyée dans son casque pour analyser son taux de sueur. Elle est revenue avec un enregistrement des Pensées de Pascal, en version beatbox.
🔋 Une endurance défiant toutes les lois connues (et inconnues)
Armstrong a gravi l’Alpe d’Huez à reculons, a parcouru une étape entière sur un monocycle, et a dépassé un hélicoptère en roue libre. Lors du contre-la-montre à Saint-Étienne, il a tellement pris d’avance qu’il a fini la veille.
“On a cru qu’il avait triché. Mais non. Il a simplement roulé plus vite que le temps.” — confesse Bernard Hinault, en frottant ses yeux avec du Ricoré.
🎖️ Un palmarès immaculé. Comme sa conscience.
Certains ont osé remettre en question cette carrière météorique. Ce à quoi Armstrong a répondu, dans une interview de 2006 :
“Je suis plus clean que le filtre Google SafeSearch. Même ma transpiration passe le test PCR.”
Il ajoute : “Quand je pisse, ça soigne les rhumes.”
🕊️ L’homme, la légende, le produit miracle
Depuis sa retraite, Lance Armstrong a inspiré une génération entière d’athlètes, d’aspirateurs Dyson et de super-héros Marvel. Il aurait même été pressenti pour remplacer la pile de l’ISS, mais la NASA a reculé : “Trop puissant. Ça risquerait d’allumer le Soleil en mode ultra.”
📌 L’Info :
Le 24 juillet 2005 : la dernière victoire d’un mythe… avant la chute
Lance Armstrong a remporté son septième et dernier Tour de France le 24 juillet 2005. Une performance sportive jusque-là inégalée, marquant la fin d’un règne sans partage sur la Grande Boucle, débuté en 1999.
Le coureur américain était alors considéré comme un miraculé du sport, revenu à la compétition après avoir vaincu un cancer des testicules diagnostiqué en 1996. Sa domination sur les routes de France fascinait autant qu’elle interrogeait.
Des soupçons persistants et une chute brutale
Dès le début des années 2000, des soupçons de dopage ont commencé à émerger, bien que l’athlète ait toujours nié. Ce n’est qu’en 2012, après une enquête de l’USADA (Agence américaine antidopage), que l’ampleur du système mis en place a été révélée : dopage organisé, dissimulation et intimidation. Armstrong a été déchu de ses sept titres et radié à vie de toute compétition cycliste.
Il a fini par reconnaître publiquement ses pratiques dopantes en janvier 2013 lors d’un entretien télévisé avec Oprah Winfrey.
Héritage complexe
La trajectoire de Lance Armstrong reste l’une des plus ambivalentes du sport moderne : entre admiration pour ses performances et désillusion face à la tricherie. Sa fondation caritative Livestrong continue néanmoins de soutenir des causes liées au cancer, rappelant qu’au-delà du champion déchu, l’homme a marqué une époque.