L’infox :🚀 21 Juillet 1969 : Neil Armstrong prend son pied sur la Lune… et pas qu’un peu
Une petite spasme pour l’Homme, un plongeon orgasmique pour l’humanité
L’épopée lubrique du siècle
Le 21 juillet 1969, à 2h56 du matin heure française, les télés du monde entier diffusent un instant suspendu. Neil Armstrong, héros de l’espace en combinaison moulante, pose le pied sur la Lune. Mais selon des archives récemment « détournées », l’astronaute n’a pas seulement exploré un satellite rocheux : il aurait aussi titillé l’univers d’un fessier cosmique.
« Ce n’était pas une mission Apollo, mais bien une mission à poil, oh oui », aurait déclaré Buzz Aldrin, en caleçon Snoopy au moment de l’atterrissage.
Une fusée très tendue
Le module Eagle, surnommé « la cabane à câlins orbitale » par les insiders de Houston, a entamé sa descente vers la Lune après une phase d’excitation croissante. Les scientifiques évoquent d’ailleurs une montée en pression « phallique » du carburant.
« Houston, on a un problème… J’ai confondu le manche de pilotage et le joystick de plaisir », aurait glissé Armstrong selon une bande audio censurée par la NASA.
1969 : année du 69, ça ne s’invente pas
Entre les tubes de Serge Gainsbourg, les mini-jupes spatiales et les fantasmes de Zizi Jeanmaire, l’année 1969 baignait déjà dans une ambiance érotico-stellaire. La conquête de la Lune n’était que la suite logique d’un désir collectif d’aller plus loin, plus haut, plus profond… dans les cratères.
Une enquête menée par Le Gorafi Spatial a d’ailleurs révélé que les plans initiaux prévoyaient d’envoyer la première sex tape intersidérale, avec un script inspiré de Barbarella et Emmanuelle au Club Med Intergalactique.
Quand la Lune rime avec fessier
Dans l’argot populaire, la « Lune » évoque depuis toujours un postérieur bien rebondi. Coïncidence ? Pas du tout. Les ingénieurs de la NASA ont calibré le LEM pour qu’il atterrisse en douceur sur « la raie centrale du satellite », comme l’indique un plan technique retrouvé dans un tiroir à sextoys de Cap Canaveral.
Un astronaute anonyme, surnommé « Missionnaire 4 », aurait même chuchoté :
« C’était pas un alunissage, c’était un affalement langoureux sur une fesse céleste. »
Le célèbre « petit pas » devenu grande pénétration historique
Lorsque Neil Armstrong prononce son mythique :
« C’est un petit pas pour l’homme, mais un grand bond pour l’humanité »,
des témoins affirment qu’il aurait ajouté dans son micro :
« …et un grand coup de reins pour les amateurs de positions zéro-gravité. »
La NASA dément toute version érotique de la mission, mais les images floues montrent pourtant bien un mouvement de bassin suspect au moment de la descente de l’échelle.
Buzz, le troisième type
Buzz Aldrin, resté discret sur la partie charnelle du voyage, aurait néanmoins testé le premier sextoy en impesanteur : une « Buzz Plug » alimentée par énergie solaire. Selon ses carnets intimes :
« Il faisait froid, mais dans la capsule, c’était torride. »
📌 L’Info :
L’Homme sur la Lune : un exploit scientifique et humain
Le 21 juillet 1969, Neil Armstrong devient le premier humain à poser le pied sur la Lune, dans le cadre de la mission Apollo 11. Il est suivi de Buzz Aldrin, pendant que Michael Collins reste en orbite dans le module de commande.
Cette mission représente un tournant majeur dans la course à l’espace. Elle consacre la suprématie technologique américaine dans le contexte tendu de la Guerre Froide, et symbolise l’aboutissement d’années de recherche scientifique et d’investissement colossal.
La phrase d’Armstrong, diffusée en direct, devient immédiatement légendaire :
« That’s one small step for a man, one giant leap for mankind. »
Un contexte culturel marqué par la libération des mœurs
L’année 1969 est aussi celle de Woodstock, des révolutions sexuelles post-68 et de la libération féminine. C’est dans ce climat que Serge Gainsbourg et Jane Birkin enregistrent le sulfureux « Je t’aime… moi non plus », tandis que la presse évoque une « année érotique », une formule popularisée ensuite par les humoristes.
Il n’existe bien sûr aucune dimension sexuelle dans la mission Apollo 11, mais l’imaginaire collectif — et humoristique — s’est volontiers approprié les termes de « conquête », « fusée », « orbite », ou « pénétration atmosphérique », pour faire de l’épopée lunaire un terrain fertile à la parodie.