rencontre entre un comonaute américain et russe dans l'esapce www.fucknews.fr

17 Juillet 1975 : En pleine guerre froide deux cosmonautes, un américain et un russe partagent une capsule en orbite (tuméfiée)

L’infox :🧑‍🚀 17 juillet 1975 : quand Américains et Soviétiques s’espionnaient dans l’espace… armés jusqu’aux dents

🌍 Houston, on a un mistrust

En pleine Guerre Froide, pendant que la planète frissonnait au son des missiles nucléaires pointés dans tous les sens comme des doigts accusateurs en réunion de copropriété, une opération ultra-top-secret se préparait au-dessus de nos têtes : l’arrimage spatial entre la capsule américaine Apollo et la soviétique Soyouz.

Officiellement, c’était une mission de « coopération internationale pacifique ». Officieusement ? Une partie de Cluedo en apesanteur où tout le monde soupçonnait tout le monde d’avoir caché un flingue dans son sandwich lyophilisé.

« Quand j’ai vu le cosmonaute russe sortir une clef à molette de sa combinaison, j’ai cru que c’était pour réparer le module. En fait non. Il avait juste peur que je sois un espion déguisé en astronaute », confiera plus tard Thomas Stafford en interview post-traumatique chez Oprah.


🔫 Deux capsules, trois flingues, et un lance-roquettes en gel douche

Selon des documents semi-classifiés (donc disponibles sur TikTok), chaque cosmonaute était équipé d’un kit de survie qui ferait pâlir John Wick :

Contenu de la trousse « de confiance »Apollo (USA)Soyouz (URSS)
Pistolet dissimulé dans un stylo
Micro caché dans le tube de dentifrice
Vodka planquée dans une seringue
Livre de Tolstoï avec un cran d’arrêt dedans
Dictionnaire anglais-russe avec pages explosives

🚀 Un arrimage tendu comme un slip dans l’espace

Le 17 juillet 1975 à 16h19 UTC, les deux capsules s’arriment. Instant historique.

À bord, le cosmonaute soviétique Alexeï Leonov serre la main de Thomas Stafford avec une joie visible… et l’autre main sur la détente. Des sourires crispés, des regards qui en disent long (genre : « Tu fais un geste bizarre, je te gaze avec mon spray au piment made in Texas »)…

Mais rapidement, la méfiance se dissipe autour d’un tube de nourriture déshydratée à la saveur… mystère (probablement choucroute-coca). On parle sport, météo lunaire, et séries américaines.

« Il a voulu me parler de Star Trek, j’ai répondu avec un poème de Maïakovski. On a fini par regarder des VHS de Derrick ensemble. », explique Leonov dans ses mémoires non publiées « 48 heures dans le doute ».


📡 Big Brother is docking you

Pendant les 48 heures d’arrimage, chaque capsule était équipée de 24 micros, 14 caméras, et au moins 2 taupes. Le moindre échange entre les deux camps était analysé, décodé, et probablement transformé en comédie musicale à usage interne des services secrets.
Un enregistrement retrouvé récemment révèle ce dialogue :

STAFFORD : « You like jazz? »
LEONOV (très sérieux) : « Is that code for nuclear missile? »


🛸 Et pourtant… ils se sont compris

Malgré les doutes, les soupçons et les armes planquées dans les chaussettes thermiques, cette rencontre improbable a été le premier high five intersidéral Est-Ouest de l’Histoire.

Même Kaamelott n’aurait pas osé ce scénario :

Perceval : « Mais si tu veux que je monte dans sa capsule, faut déjà qu’on décide qui met le clignotant, non ? »
Karadoc : « Moi j’dis tant que y’a de la bouffe en tube, on peut faire la paix… »


📌 L’Info :

🌐 Le programme Apollo-Soyouz : un tournant historique

Le 17 juillet 1975, au cœur de la Guerre froide, les États-Unis et l’URSS réalisent une première mondiale : le rendez-vous spatial entre deux vaisseaux habités appartenant à des puissances rivales. Le projet Apollo-Soyouz marque le premier vol spatial conjoint entre les deux nations.

La capsule américaine Apollo, pilotée par Thomas Stafford, Vance Brand et Deke Slayton, s’arrime à la capsule soviétique Soyouz, occupée par Alexeï Leonov et Valeri Kubasov. Pendant 48 heures, les équipages vivent ensemble, effectuent des expériences scientifiques, et réalisent des transmissions en direct à la télévision mondiale.

🤝 Symbolique et diplomatie

L’opération est avant tout un symbole : la détente internationale (le fameux détente), amorcée après les tensions des années 60, s’illustre désormais jusque dans l’espace. Cette mission, malgré la rivalité technologique persistante, montre que coopération scientifique et gestes de paix sont possibles même dans un climat de défiance.

🔐 Sécurité et précautions

Les deux agences (NASA et l’agence spatiale soviétique) ont travaillé pendant des années pour rendre les systèmes compatibles. Les équipes ont même développé un module spécial d’arrimage. Malgré une atmosphère détendue, la mission fut très encadrée, chaque détail préparé avec minutie, sans armes, bien entendu.

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