L’infox : 📰 13 août 1899 – L’humanité retient son souffle : Alfred Hitchcock naît enfin, après un twist final angoissant
“C’est un garçon !” : un climax haletant après 9 mois de suspense insoutenable
Londres, 1899. Un brouillard épais, des ruelles inquiétantes, une sage-femme aux mains tremblantes, un bébé encore sous embargo narratif : l’Angleterre entière se fige.
C’est au terme d’un accouchement scénarisé par Edgar Allan Poe et réalisé par Stanley Kubrick que naquit, ce dimanche 13 août, un certain Alfred Joseph Hitchcock. La scène s’est déroulée dans la plus grande discrétion, avec seulement 48 témoins en trench-coat, un orchestre de cordes dissonantes, et une corne de brume.
“Au moment où il est sorti, j’ai entendu pssshhhhh comme dans les vieux films… puis quelqu’un a crié ‘COUPEZ !’” — Mme Hitchcock, mère de l’enfant et probable actrice secondaire.
Déjà, l’enfant impressionne : il cligne des yeux en fondu enchaîné, bave en champ contre-champ, et téte avec un sens du cadrage dérangeant. Son premier cri ? “Dun-dun DUN-dun…”, qu’un voisin confondra avec le jingle de TF1.
Une enfance filmée… sans caméra
La jeunesse d’Hitchcock se déroule comme un scénario millimétré : le petit Alfred refuse de sortir de son landau sans twist final, interroge le chat de la famille comme un suspect, et fait de l’ombre aux ombres.
À 6 ans, il monte déjà son premier court-métrage avec :
- Une boîte de sardines vide
- Un pigeon suspect
- Et une pomme de terre marquée “Maman ?”
“Il m’a accusée d’être l’assassin de son doudou. J’ai dû lui fournir un alibi.” — Sœur d’Alfred, traumatisée.
En classe, il rend ses dictées en storyboard et lance un club très privé : “Les petits sociopathes anonymes”. Le directeur de l’école est encore en PLS.
Une œuvre précoce : « Cauchemar au biberon »
À 11 ans, Hitchcock écrit son premier thriller psychologique, Cauchemar au biberon, où un nourrisson découvre que son lait… est tiède. Le roman sera interdit dans 3 crèches et inspirera Netflix pour 15 futures séries.
Extrait :
“Le liquide coulait lentement, trop lentement. Qui avait réglé le débit ? Maman… ou quelqu’un d’autre ?”
H3 – Spoiler : il deviendra maître du suspense (et des sourcils froncés)
Le reste, c’est de l’histoire : Psychose, Les Oiseaux, Fenêtre sur cour, et cette passion inexplicable pour les escaliers. Chaque film est une masterclass de tension, avec des silhouettes inquiétantes, des rideaux suspects, et des prénoms trop neutres pour être honnêtes.
📌 L’Info :📜 PARTIE B – Alfred Hitchcock : un géant du 7e art, né le 13 août 1899
Naissance à Leytonstone, banlieue de Londres
Alfred Hitchcock naît le 13 août 1899 dans le quartier de Leytonstone, à Londres. Fils d’un épicier, il grandit dans une famille catholique stricte, marqué par une éducation rigide et une imagination débordante.
De l’ingénierie à la caméra
Il commence sa carrière dans la publicité puis dans le cinéma muet britannique comme illustrateur de cartons de texte. Il devient rapidement réalisateur, d’abord au Royaume-Uni (The Lodger, 1927), puis aux États-Unis à partir des années 1940.
Il s’impose avec des chefs-d’œuvre du suspense, révolutionnant le langage cinématographique :
- « Psychose » (1960) : innovant par son montage, sa musique (Bernard Herrmann) et son retournement narratif
- « Les Oiseaux » (1963) : tournage technique complexe, absence de musique, climat anxiogène
- « Sueurs froides » (1958) : exemple majeur du Vertigo Effect, et élu par la critique comme l’un des plus grands films de l’histoire
Un style unique, une silhouette culte
Hitchcock est reconnaissable entre mille : caméos dans ses propres films, obsession du contrôle narratif, thèmes de la culpabilité, du double, de l’enfermement. Il a influencé des générations de cinéastes (Spielberg, De Palma, Fincher…).
Mort en 1980 à Los Angeles, il laisse une œuvre intemporelle mêlant tension, psychologie et élégance macabre.