L’INFOX :
Guernica, 26 avril 1937 – Tandis que la ville basque est pulvérisée par les avions de la Légion Condor, un homme calme, en chemise décontractée et regard noir, installe tranquillement son chevalet. C’est Pablo Picasso. Et non, ce n’est pas une blague. Il était là. Vraiment. Enfin… selon ses propres carnets de croquis (annotés en majuscule : « NE PAS OUBLIER : EXPLOSIONS = DRAME = CUBISME »).
« Je peignais un âne, puis il s’est transformé en cri de l’humanité », aurait-il déclaré en mâchant du tabac de guerre.
Selon les rares survivants, Picasso aurait crié « Attendez ! Ne bougez pas, c’est très expressif comme posture ! » à un soldat basque dont les jambes étaient littéralement en désaccord sur la direction à prendre.
🧨 Quand la bombe inspire plus que le bon vin : genèse d’un chef-d’œuvre en live
Le peintre aurait terminé la première ébauche de Guernica entre deux explosions, une crise d’angoisse et un pique-nique improvisé (« Je fais toujours mes meilleurs traits avec une olive coincée entre les dents », disait-il). Il aurait ensuite crié à un bombardier allemand :
« Tu veux une dédicace en prime ? J’appelle ça ‘expressionnisme balistique’ ! »
Le tableau, bourré de symboles et de membres mal rangés, aurait été fini sur place quelques heures seulement après le départ des bombardiers, pendant que Picasso hurlait à une vache affolée :
« C’EST TON MOMENT DE GLOIRE, BÉATRICE ! »
« Quand les bombes tombent, moi je monte les tons », aimait à dire Picasso, juste avant de peindre un pigeon en feu sur un parapluie.
💥 « C’est pas un tableau, c’est un cri dans une boîte de conserve ! » – critique d’art désorienté
Certains historiens de l’art remettent en question la présence de Picasso à Guernica ce jour-là. D’autres affirment qu’il était bien là, mais uniquement pour vendre des marinières à la sortie du drame.
Ce qui est sûr, c’est que son tableau est devenu une des œuvres les plus marquantes de l’art engagé, et probablement aussi le premier live painting de l’histoire avec effets pyrotechniques non désirés.
« Je voulais juste faire un croquis de vache… et puis l’Histoire est entrée par la fenêtre sans frapper », confia-t-il plus tard dans un talk-show espagnol animé par un paella anarchiste.
L’INFO :📚 Le bombardement de Guernica : un crime de guerre fondateur dans la conscience européenne
Le 26 avril 1937, au cœur de la guerre civile espagnole, la petite ville basque de Guernica fut la cible d’un bombardement aérien intensif par les forces allemandes de la Légion Condor, alliées du général Franco. Ce bombardement a duré plus de trois heures, faisant entre 150 et 300 morts, selon les sources.
Il s’agit du premier bombardement massif de civils dans un conflit moderne, marquant un tournant dans la stratégie militaire du XXe siècle.
🖌️ Guernica de Picasso : réaction artistique et politique
Profondément affecté par les événements, Pablo Picasso, qui vivait alors à Paris, réalisa l’œuvre Guernica en quelques semaines pour l’Exposition universelle de 1937. L’œuvre, en noir et blanc, est un cri visuel de protestation contre la guerre, la terreur et la souffrance civile. Elle mêle des figures symboliques : le taureau, la mère éplorée, le cheval agonisant, la lampe électrique…
Contrairement à la fiction humoristique de cet article, Picasso n’était pas présent à Guernica au moment du bombardement. Il a appris la nouvelle par la presse et a rapidement commencé à travailler sur la toile. Celle-ci devint rapidement une icône mondiale de l’art engagé et antimilitariste.
Catégories : Histoire – Peinture
Crédit Photo : chat GPT 4o image
