🎸 26 juillet 1943 : Naissance de Mick Jagger, l’enfant qui ne fera jamais de sieste

Un nourrisson plus rock que ta crise d’ado

Le 26 juillet 1943 à Dartford (Kent), le sol anglais a légèrement tremblé — pas à cause de la guerre, mais parce que la maternité locale a donné naissance à une légende en couche-culotte. Mick Jagger, à peine expulsé de l’utérus, aurait hurlé ses premières vocalises en mi majeur, exigeant une guitare et un ampli Marshall au lieu du traditionnel biberon.

« Il a immédiatement mordu l’infirmière, puis lui a demandé si elle avait de la cocaïne », raconte un médecin de l’époque, encore traumatisé.

Avec un débit plus rapide que celui d’une Mastercard Platinum au Festival de Glastonbury, Mick enchaînera les tubes, les groupies et les anecdotes si hallucinantes qu’elles pourraient figurer dans un épisode crossover entre Kaamelott, Trainspotting et Groland.

Une enfance à base de riffs, d’orgies et de céréales

Dès l’âge de 3 ans, Mick aurait transformé son bac à sable en studio d’enregistrement. Son premier single, « Suce ta tétine, baby », atteint le sommet du classement Top Bébé UK pendant 6 semaines consécutives. À 5 ans, il serait rentré par effraction dans un club de jazz pour « voir s’il y avait de la vodka dans le lait chaud ».

« Il refusait les purées de légumes à moins qu’elles soient accompagnées de LSD ou d’un solo de Keith Richards », confesse sa nourrice, désormais en retraite spirituelle au Tibet.

Le corps de Keith, l’énergie de Benjamin Button

Mick Jagger traverse les décennies avec l’élégance d’un chihuahua dopé au Red Bull : il danse, saute, se contorsionne comme si sa hanche était sous garantie à vie. Il a survécu :

• à 17 tournées mondiales,
• à 43 ruptures amoureuses publiques,
• à un taux de débauche qui ferait passer Bacchus pour un mec sobre.

Aujourd’hui, à 82 ans, il continue de mouiller la chemise, littéralement, car il sue du whisky et de l’huile de moteur. Lors de son dernier concert, il aurait parcouru 12 kilomètres sur scène, soit plus que ton abonnement à Basic Fit depuis 2019.

La longévité selon Jagger : sexe, drogue, and spin class

Mick a prouvé qu’il existe une fontaine de jouvence : elle est située dans son minibar personnel, entre la bouteille de tequila et le placenta cryogénisé de David Bowie. Il dort trois heures par mois, mange du tofu à l’ayahuasca et pratique le yoga tantrique sur des amplis allumés.

« Ce mec a plus d’énergie qu’un ado sous Monster Energy devant un écran Fortnite », aurait déclaré Emmanuel Macron, jaloux de sa vitalité.

Jagger, c’est Dieu, mais en plus pailleté

On ne sait pas ce qu’on admire le plus chez Mick :

• son endurance,
• ses fringues toujours trop serrées,
• ou sa capacité à danser comme s’il avait des crampes pendant un séisme magnitude 9.

La rock star semble désormais appartenir à un autre plan d’existence, entre mythe grec, cryptide sexy et influenceur sous amphétamines. Selon une rumeur, il aurait signé un pacte avec le diable en échange de son dernier cheveu noir.

🎤 « Satisfaction » n’était pas une chanson. C’était une prédiction auto-réalisatrice.

📌 L’Info :

Mick Jagger : une icône intemporelle du rock

Né le 26 juillet 1943 à Dartford, Michael Philip Jagger est mondialement connu comme le chanteur des Rolling Stones, groupe formé en 1962 avec Keith Richards et Brian Jones. Avec sa voix reconnaissable entre mille, son charisme scénique et son énergie inégalée, Jagger s’impose rapidement comme l’une des figures emblématiques du rock britannique.

En plus de 60 ans de carrière, les Rolling Stones ont vendu plus de 240 millions d’albums, composé certains des plus grands classiques du rock (Satisfaction, Paint It Black, Angie, Start Me Up) et influencé des générations entières d’artistes.

Mick Jagger, par son attitude provocante et sa vie tumultueuse, incarne une époque : celle de la contre-culture, de l’excès, mais aussi de la liberté artistique. Il a également mené une carrière solo, joué dans quelques films et reçu plusieurs distinctions, dont le titre de « Sir » en 2003.

Toujours actif à plus de 80 ans, il continue de tourner avec les Stones, prouvant que le rock n’a pas d’âge, mais beaucoup de rides, de cicatrices et de souvenirs.